Banquet pour fêter l'Indépendance 1456

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 30/11/2007

Merci mon brave.

Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 30/11/2007

Le Dug de Brocéliande, ayant pris la peine de faire le voyage jusqu'en Avignon se présenta donc au chateau où il fut conduit vers la salle ou se tenait le banquet d'indépendance, observant distraitement autour de lui, il se demandait si il croiserait quelques provençaux de ses connaissances, outre le marquis qu'il avait déja eu l'occasion de rencontrer, et vers qui il lui fallait maintenant se diriger afin de le saluer.

Cadavre Nombre de messages : 467 Date d'inscription : 10/05/2007

Rejoignant le joyeux groupe de son fils et de Véro, Mickaelle aperçut le Duc de Brocéliande se dirigeant vers Lordfear. Elle lui fit un signe de tête, se disant qu'elle irait le saluer dès qu'il aurait accompli ses civilités à l'égard du Marquis ainsi que le voulait le protocole.

Elle se tourna vers Richelieu et déposa un baiser sur son front

Bonjour mon fils. Heureuse de te voir comme toujours. Ma Véro , comment vas tu ?

Nombre de messages : 150 Date d'inscription : 21/11/2007

Ysabelle entra dans la salle et remarqua quelque visage connu. Elle les salua de loin et se dirigea vers le buffet. Autant en profitez en attendant la danse.

Sujet: Re: Banquet pour fêter l'Indépendance 1456 Ven 30 Nov 2007 - 21:32

Se demande combien de temps elle réussira a garder son air joyeux et désinvolte. Embrasse doucement Micka

Micka ... on pose pas la question sauf si on veux vraiment connaître la réponds.. tu me connait lui chuchote Je vais a Lyon ce soir dès que je sors d'ici ... Puis-je te confier mes biens sur Marseille? ... Je ne sais pas ce qu'il va en advenir ..
Essaye désespérément de continuer a afficher un sourire gai et nonchalant

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 16/07/2007

Lothaire avait été invité par une missive signée du Marquis en personne. Il avait fait atteler une voiture, laissons les affaires martiale de côté afin de remplir sa tache de représentation de l’Ordre Royal de Sainct Michel en sa qualité de Grand Maître. Et c’est après une semaine de route que le jeune Flamand, devenu alençonnais arriva à Avignon, noble ville qu’il avait eu le plaisir de déjà visiter lorsqu’il n’était alors qu’ambassadeur flamand attaché à la belle région de Provence … Et comme à sa dernière visite, Lothaire se mit à rêver d’un petit domaine vinicole sur la côté azur, avec le soleil, les fleurs violette à la bonne odeur, dont il avait oublié le nom (lavande) et aux gros insectes bruyants (sauterelle), ce paysage avait un peu changé, en effet l’Hiver maintenant était et bien que le soleil brillait la température n’était plus la même, loin de là … Mais icelle était bien plus élevées que celles d’Alençon, ou de Flandres. Il lança un long soupir …. Si seulement la Provence pouvait être française, il aurait put s’y installer. Puis un sourire vint sur le visage froid du jeune noble, une sorte de grimace. En effet il venait pour fêter l’anniversaire de l’indépendance d’un comté qu’il voulais voir français. Puis il chassa cette idée pour reprendre la liste qu’il avait devant les yeux, c’était la liste des nobles Provençaux, il devait tenter de tout retenir afin de ne pas passer pour un fat. Puis sa voiture s’arrêta soudain, il tira un peu le rideau afin de voir ou il était, puis la porte s’ouvrit, c’était son cocher qui venait le faire descendre. Une fois le pieds sur le pavé il suivi un valet le menant au banquet, celui ci semblait entamé, il chercha une couronne de Marquis, puis trouva un Homme au dais mauve et à la couronne semblable à celle du Grand Duc de Bretagne … en Mauve, il s’en approcha, fit une profonde révérence puis dit :

Vostre magnificence, le bon jour, il est pour moi un réel honneur d’estre invité. Lothaire van Kessel, Grand Maistre de Sainct Michel pour vous estre urbain …

Puis il se releva légèrement. Afin de regarder le Marquis.

Sujet: Re: Banquet pour fêter l'Indépendance 1456 Ven 30 Nov 2007 - 22:02

Lordfear qui discutait avec le Comte de Menton, s'arreta en voyant entrer dans la pièce nombre de ses invités qui se dirigeait vers lui. Un grand sourire aux lèvres, il les salua respectueusement et les présenta au Maistre d'Armes du Marquisat.

Lothaire venait de se présenter de lui-même.

C'est un plaisir pour moi de vous compter parmi nous Grand Maistre. J'espere que le voyage ne fut pas trop long.

Lordfear se tourna vers Amalric.

Mon cher Amalric, Duc De Brocéliande, un plaisir de vous revoir également en ces terres provençales! J'ai entendu que votre fille venait également d'arriver au chateau..Vous vous doutez qu'il y'a bien des choses dont nous devons nous entretenir

Enfin, il se tourna vers Tixlu

Mon ami, Duc de Lapalisse et paire de France, quel chemin parcouru depuis nos début au Pacte des séraphins! Un plaisir de vous revoir depuis tant de temps.

Il s'arreta et regarda Lothaire, Amalric et Tixlu

Messieurs, je vous présente le Comte de Menton, le Maistre d'Armes du Marquisat des Alpes Occidentales. Installez vous à notre table, et devisons quelque peu des affaires de vos royaumes.

Lordfear appela un serviteur pour qu'il serve en mets et en vin les trois invités.

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Joueur de Lordfear, Ancien Marquis des Alpes Occidentales.

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Nombre de messages : 1259 Date d'inscription : 03/06/2007

Polumo avait lu le carton d'invitation de la salle commune au conseil.
Cette fois, il tacherait de ne pas etre trop gauche. La porte était déja ouverte, signe favorable se dit-il.
Quelques pas sur le parquet fraichement vernis et par la même occasion lustré, il entra dans la grande salle.
Des têtes inconnues, d'autres familières et amicales.
Entendant des noms de grandes personnalités, il ne cessait de tourner la tête.
Que notre indépendance attire et voit tant de beau monde était, à son sens diplomatique assez mince, bonne chose.
Il saisit au vol un verre à un des serveurs qui passa d'un pas décidé, à croire qu'ils avaient été prévenus que déja ajun il était une catastrophe, enfin ces pas les vachers des étables comtales ou les brignolais qui les contrediraient...

Cadavre Nombre de messages : 467 Date d'inscription : 10/05/2007

Mickaelle vit l'air triste de Véro. Oui, elle venait d'apprendre pour ..

Non Véro ! Je veux partir avec toi ! Confies tes biens à mon frère ! Il ne peut nous suivre. Il saura gérer nos affaires. Nous allons chercher notre ami et le sauver ! N'aie de craintes ! Pour l'heure nous sommes ici .. dès que la reception est terminée nous partons ! Mon temps militaire n'est pas si loin et je saurai protéger tant pour l'aller que le retour ! Un provençal en danger de mort .. Il ne sera pas dit que nous n'allions le sauver .. surtout celui là !

Mickaelle accompagna ses paroles d'un gros baiser sur joue véronique.

Nombre de messages : 42 Age : 49 Date d'inscription : 22/11/2007

Après avoir reçu un carton d'invitation, Anastasie prépara sa plus belle tenue de soirée. Elle se présenta ensuite au garde qui se trouvait devant la salle du Banquet.

Bien le Bonsoir, j'ai reçu ceci. Dit elle en tentant son carton.Je suis l'Ambassadrice du Lyonnais Dauphinné ou dois je me rendre ?

Le garde regarda le carton d'invitation et fit entrer Anastasie sans meme prononcer un mot.

Entrant dans la salle, Anastasie se sentit un peu seule, ne connaissant personne. Elle devrait essayer de se fondre dans la foule et se faire repérer le moins possible. Ce genre de banquet la rendant très nerveuse.

Elle se dirigea donc vers la table ou se trouvait les boissons, se fit servir et s'installa dans un peu coin, espérant tout de meme voir une personne qu'elle aurait connu jadis.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 23/11/2007

Tangarius arriva devant le Château. Enfin, avec sa roulotte, il ne passait pas vraiment inaperçu. Il la confia à un page et entra dans la grande salle d'accueil ou l'on se faisait, lui semblait il, annoncer. Il s'avança et déclina son identité en montrant son carton d'invitation de la par du marquis des Alpes Orientales.

Tangarius, Chambellan du Bourbonnais Auvergne...

Il ne savait pas vraiment les raisons qui avaient fait qu'il était invité mais se dit qu'il le saurait bien assez tôt.

Sujet: Re: Banquet pour fêter l'Indépendance 1456 Ven 30 Nov 2007 - 23:23

Les Brocéliande avaient fait déposé leurs bagages dans les appartements que le maître des lieux avaient grâcieusement mis à leur disposition et s'étaient changé pour la fête.
Riwan Nathan portait à présent une toilette brune et beige qui lui donnait l'air sage et Driweg avait revêtu une grande robe rouge brodée de fils d'or suivant des schémas compliqués. Elle avait peigné soigneusement les cheveux fins de son fils et avait laissé ses boucles blondes dégringoler dans son dos, fixant simplement une petite barette bijou ornée d'un rubis taillé en forme de fleurs.
Puis tous deux avaient suivi le garde qui les attendait patiemment jusqu'à la salle du banquet.

Avant d'entrer dans la salle, Driweg retint son fils par l'épaule avant de se pencher vers lui pour lui souffler :

_ "Tu as presque 12 ans maintenant mon chéri. Tu es presque une grande personne. Il faut bien te conduire. Tu sais, je doute que tu puisses trouver des enfants de ton âge derrière ces portes. Tu pourra faire un tour de la salle seul si tu le souhaites. N'oublie pas de saluer les dames d'une révérence et de hocher respectueusement la tête devant les hommes. Si on te demande ton nom, décline-le avec fierté."

Riwan Nathan hocha la tête et tenta de reprendre leur marche mais Driweg l'arrêta doucement :

_ "Fais un bisou à ta Maman."

Le garçonnet sourit et s'exécuta avec plaisir et ils entrèrent ensemble dans la salle des festivités.
La pièce était richement décorée. Sur la gauche, des tables étaient dressées et quelques sièges étaient déjà occupés. Sur la droite, les invités se tenaient debout, par groupes, et étaient lancés dans de grandes conversations.
Driweg se faufila parmi les convives en rendant les politesses qu'on lui faisait. Elle commençait seulement à chercher le Marquis des yeux pour aller le remercier quand son fils tira deux coups secs sur sa manche.

_ "Maman, il y a Grand-Père Amalric là-bas."

Driweg fronça les sourcils :

_ "Ton Grand-Père ? C'est impossible, Riwan. Nous sommes à des centaines de kilomètres de la Bretagne et il ne m'a pas dit qu'il comptait..."

Regardant dans la direction que lui indiquait du menton son fils, la jeune femme fut estomaquée. Son père, le Duc de Brocéliande, était effectivement dans la pièce et attablé avec le Marquis de surcroît.

_ "Viens mon chéri. Allons-y."

Elle guida Riwan Nathan par les épaules dans leur direction mais s'arrêta à quelques pas d'eux. Oserait-elle interrompre leur conversation ?

Sujet: Re: Banquet pour fêter l'Indépendance 1456 Ven 30 Nov 2007 - 23:44

De passage à sa nouvelle ambassade en Avignon pour transférer ses quelques dossiers qui traînaient dans l'ambassade au château d'Aix, un jeune impérial regardait la scène d'un air hagard. Le cheveu ébouriffé, les mains tremblantes, ce jeune homme ne ressemblait pas à une personne préparée pour un banquet. A en juger la lettre froissée entre une main et la mésange fermement empoignée dans l'autre, les nouvelles n'étaient guère bonnes. Et pour cause : il était interdit de banquet ! La Franc-Comtesse avait décidé de se terrer dans l'absence de relations diplomatiques, de faire comme si la Provence n'existait plus à ses yeux. Un traité à voter ? Mettons-le en attente, on a autre chose à faire. Un banquet auquel on est invité ? Non, le thème de la soirée ne convient point. C'est vrai, la Franche-Comté ne reconnaît pas l'indépendance de la Provence, alors autant ne pas aller à la fête de l'indépendance. Fallait-il en conclure que la présence d'un pair de France indiquait que le royaume voisin reconnaissait l'indépendance de la Provence ? Le jeune homme imaginait que non, mais la logique comtale le dépassait certainement.

Remettant un peu en place le manteau impérial sur ses épaules pour avoir l'air un peu moins dépenaillé, le maréchal d'armes impérial balaya l'assemblée d'un oeil triste. Il aurait tant voulu converser avec ces Provençaux, en savoir plus sur leur chaleureuse contrée. Cette idée le fit frissonner. Bientôt, il lui faudrait retrouver le temps glacial qui règnait en Franche-Comté. Soupir.

Au début, il avait haï les Provençaux, ces félons qui abandonnaient l'empire quand l'empereur ne leur accordait pas ce qu'ils souhaitaient. Il était bien jeune, à l'époque. Il était resté dans cette vague agressivité à l'égard de la Provence pendant un certain temps, imaginant toujours qu'un jour où l'autre, une route s'ouvrirait entre la Provence et l'empire, et que l'empire enverrait sa valeureuse armée détruire les mauvais félons. Au souvenir de cette idée ridicule, il ricana intérieurement. Puis il était devenu haut dignitaire. A son tour, il avait été déçu par l'empereur. La déception était d'ailleurs une faible idée pour exprimer ce qu'il avait ressenti lorsque l'empereur avait abandonné la diète, et laissé le haut connétable traîner l'archichancelier dans la boue pour des histoires stupides. Il avait compris alors que l'indépendance provençale avait peut-être un fondement. Il s'était engagé pour remettre en place des relations diplomatiques entre Provence et Franche-Comté. Il ne s'attendait pas à un accueil amical lorsqu'il débarqua au château d'Aix en réclamant une ambassade, loin de là. Mais ces discussions, fussent-elles insignifiantes, avaient rapproché la Franche-Comté de la Provence. Deux soeurs ennemies qui se redécouvraient et qui admettaient que l'amitié était plus productive que la haine. La suite fut moins agréable. Alors même que les négociations sur un traité tournaient bien, des élections en Franche-Comté portèrent au trône une personne qui ne voulait pas de relations avec la Provence. « Moins je leur parle, mieux j’me sens. »

Mais s'il n'avait pas le droit de se présenter à ce banquet en tant qu'ambassadeur franc-comtois, il estimait tout de même avoir la liberté de penser que la Provence méritait bien cette charmante fête. Le Provençal, choisi au hasard parmi les roturiers présents pas trop loin de lui, à qui il donna une grande claque dans le dos avec force congratulations pour cette année d'indépendance crut bien que la folie s'était emparée d'un des rares impériaux qui traînaient dans le coin. « Ils sont fous ces impériaux… »

Le sourire au coin des lèvres, Pinss regagna son ambassade, satisfait de son passage éclair au banquet.

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 30/11/2007

Le jeune Chancelier avait fait le déplacement jusqu'en Provence pour se présenter à ce fameux banquet de feste de l'indépendance. Bien sûr Fingal n'approuvait pas le statut de la Provence, bien sûr les Provenceaux devraient prester allégeance à l'Empereur tout comme la Franche-Comté. Mais aujourd'hui leur indépendance ils l'avaient. Bien malgrès les quelques bornés prétendant le contraire.
Si quelqu'un lui posait la question il se targuerait bien de leur demander comment pouvait-on imaginer cette région comme étant impériale si aucune région du Saint-Empire n'y accordait d'interêt ?

Pied à terre Fingal regardait le séduisant paysage lorsqu'il se rendait à la Salle de Banquet. Son ami Pinss avait bien de la chance d'y travailler. Une idée vint le chatouiller, sa mère Thyxia, serait elle la ? Aurait il la chance de la revoir ? Cela faisait bien longtemps qu'elle etait partie de Franche-Comté, dégoutée.
Après tout si la Provence l'avait acceptée en son sein c'etait bien que la région ne pusse être si mal qu'on le pretendait.

Peu à son aise Fingal etait présent en la, somptueuse, salle du banquet. Il se doutait que bien peu de gens ici savaient qui il etait. Avec son air de gamin d'une seizaine d'années on le croirait probablement plus fils de noble à marrier que Chancelier de la Franche-Comté. Scrutant la salle il ne comprennait pas, ou etait donc l'ambassadeur Pinss ? Il s'etonnait de son absence, cela ne ressemblait pas à ses habitudes.
Après s'être présenté à un page, il se permit une requête.

"Puissiez vous aller querir Messer Pinss l'ambassadeur de Franche-Comté, et lui faire savoir que son Chancelier exige sa présence ? A vostre retour veuillez aussi me faire état de la présence de Dame le Procureur Thyxia de Clarensac."

Après quelques explications avec le Marquis qui eut une bonne réaction Arwen se décida d'aller fêter comme il se devait cet anniversaire de l'Indépendance. Accompagnée par son époux et les jumeaux, elle avait mit une grande robe de cérémonie de couleur claire brodée de fil rouge dessinant joliment son ventre arrondi. Ses cheveux étaient relevés dans un élégant chignon laissant juste quelques mèches frisées tomber le long de son visage. Elle ne savait pas vraiment comme se présenter maintenant qu'elle était Comtesse mais elle voulait tout de même pouvoir rester elle-même tout en respectant son statut. Elle tenait Melvina par la main alors que Jarl s'occupait de Melvin. La petite était déjà un peu agitée et elle n'avait pas l'habitude de ces grandes soirées, elle lui donna alors quelques recommandations pour ne pas qu'elle s'éloigne, à trois ans elle était bien trop jeune pour se promener seule parmi les grandes personnes. Elle donnait fièrement son bras disponible à son époux lorsqu'il pénétrèrent dans la salle. Elle inclina la tête pour saluer les premières personnes qu'elle croisait et sourit à son époux avant de lui parler discrètement

"Je crois que nous devons aller nous installer à la table du Marquis, mais je ne connais pas tout le monde ici, même si j'ai les noms des invités je ne les ai jamais vu, j'espère m'en sortir je ne voudrais offusquer personne."

Elle regarda son fils qui semblait être sage avec Jarl

"On dirait qu'il est tout gentil avec toi, pourvu que ça dure la soirée. Je leur ferai amener de quoi manger quelques friandises pour qu'ils trouvent le temps un peu moins long"

Elle lui sourit et continua à s'avancer parmi la foule tirant doucement sur le bras de sa fille qui trainait les pieds et saluant toujours poliment comptant sur le Marquis ou le Chancelier pour faire les présentations. Elle aperçut aussi quelques amis comme Richelieu ou Dodo qu'elle salua avec le sourire. Enfin arrivée près de la table d'honneur elle inclina la tête pour saluer le Marquis et les personnes importantes qui avaient l'air de l'entourer

"Bonsoir, je me présente, Arwen Heimdallrsön, Comtesse de Provence Libre et voici mon époux Jarlmorgoth, Capitaine de l'Ost provençal"

Elle sourit poliment gardant un oeil sur Melvina lui demandant de saluer elle aussi les personnes présentes. Elle était un peu impressionnée et espérait s'être présentée de la bonne façon

Driweg allait faire un pas de plus vers la table du Marquis qui n'était plus qu'à 2 ou 3 mètres lorsqu'une femme la devança. Elle était brune, très belle et son ventre témoignait d'une future heureuse nouvelle.
La bretonne entendit la jeune femme se présenter et nota son nom dans un coin de sa tête.
Elle fixa de nouveau ses yeux vert émeraude sur son père qui ne l'avait toujours pas remarqué.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 23/11/2007

Tang était entré et faisait le tour de la salle en regardant s'il ne connaissait point quelques personnes invitées.
Pas vraiment son terrain la Provence. il était passé pour quelques matchs de soule. Ses voyages avaient toujours été repoussés et il n'avait jamais été plus loin que Alais.

Il alla au buffet et prit un godet, ainsi qu'un petit truc à grignoter.

Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 25/05/2007

Jarlmorgoth, Epoux de la Comtesse de Provence, et Capitaine de l'Ost provencal, se rendit en compagnie de Sa douce a ce Banquet...Pour
l'occasion, Melvin, et Melvina, Leurs Jeunes enfants, étaient présent, magnifiquements parés, malgré leur jeune age.

Jarl, de haute stature, portait les cheveux long, légerement en dessous des épaules, relaché. Il disposait d'yeux bleus, et ses cheveux blonds en été avaient foncé a l'approche de l'hiver...Il avait tout d'un nordique, et pour cause, il venait des Pays Baltes, et avait pris racine en provence, a marseille, Pres de la mer, en compagnie de Wenou...

Et le voila, sa haute stature, son jeune visage buriné par le vent marin, entrer main dans la main en compagnie de la plus belle dame du monde, s Wenou...Il était paré d'une cape noire en velour, brodée de fils d'argents et de soie...Il s'agissait la de son habit de cérémonie habituel...

Des bottes elegamment cirées, ainsi qu'une chemise de lin, des braies assorties a la cape, et des bas clairs, completaient sa tenue, sobre mais de bon gout.

Lorsqu'elle s'inclinait, il faisait de même, poliment, même envers les personnes qu'il ne connaissait, portant melvin dans le creux de son bras gauche en faisant garde de ne pas le faire tomber...Ce dernier s'arrangeait toutefois pour discretement, tirer sur une meche de cheveux appartenant a Jarl, quand il était sur que sa mere ne regardait pas...Elle lui murmura, et il répondit :

Au moin tu connais les noms...Je ne connais que les provencaux, en ce lieux...s'il faut aller a la table du marquis, je te suis , ma tendre épouse....je ne t'ai pas dit a quel point tu étais ravissante, ce soir.

Le sujet tomba sur l'adorable petit garcon qu'il portait du bras gauche, et qui s'accrochait a ses cheveux et a son épaule..

Les friandises sont une bonne idée...Oh oui, il est gentil : il a daigné encore me laisser quelques mèches de cheveux

Il avait les yeux petillants, il aimait vraiment être ainsi, en famille...Et le fut aussi de constater que des gens qu'il connaissait en dehors des cérémonies étaient la, il leur fit signe également...Arrivé a la table d'honneur, Il laissa La comtesse s'introduire, ainsi que l'introduirelui même avant de rajouter, inclinant poliment la tête, le regard digne:

Enchanté de faire vos connaissances

Melvin s'agitait, et il lui mima le salut de la tête que son pere adoptif avait fait...Un vrai futur gentilhomme , se disait jarl, tout en reportant son attention sur son épouse et l'entourage de la tablée

Océane entendit Deubs lui parler

Deubs a écrit:: Dame Oceane, decidemment je vosu retrouve toujours au meme endroit, cette oie est elle bonne?

Baron! Décidément, vous ne faites que me surprendre lors de mes combats contre les cygnes! Oui, l'animal est coriace, mais mes dents finissent par en venir a bout. C'est toujours un plaisir de vous voir en tout cas. Je n'ai pas vu beaucoup de dracénois en ces lieux.

Océane avait remarqué que la salle s'était bien remplie.

Bien Baron, je vais aller à la rencontre de nos amis étrangers. Si nous ne parlons qu'entre provençaux, ils risquent de nous prendre pour des sauvages. Puis surtout ils risquent de nous prendre pour des timides, le pire affront pour un provençal!

Elle rit de sa boutade et quitta le Baron, tout en le saluant. Un verre de vin à la main, Océane se trouvait bien différente des autres femmes, non pas en terme de beauté, puisqu'elle était fort jolie, mais en terme de vétements, puisque la sénéchale portait toujours une légère armure, de par sa fonction. Elle détestait porter des robes de toute façon. Le Marquis lui avait donné une description précise de chaque invité, si bien qu'il était aisé pour elle de deviner qui était qui parmi tous ces dignitaires ou invités étrangers.

Ainsi, elle remarqua aisément la Baronne de Brocéliande qui s'avançait vers la table d'honneur du Marquis. Ses longs cheveux blonds et son teint un peu plus pale que celui des femmes de Provence trahissait son identité. Océane avait été chargé par le Marquis de veiller à ce que Driweg et son fils passent un bon séjour en Avignon. Elle irait leur parler par la suite. En attendant cela, Océane se dirigea de nouveau vers le buffet, son verre étant vide. Elle rencontra alors un homme et une femme qui ne disaient mot. Elle leur parla

Vous messire, vous êtes Tangarias ou Tangarius, j'ai un doute. Et vous madame, vous êtes anastasie. Vous voulez savoir comment je sais cela?

Elle souria

Cadavre Nombre de messages : 467 Date d'inscription : 10/05/2007

Mickaelle sourit franchement à Véro. Allons . nous allons sauver ton amoureux . sourit .. plutot deux fois qu'une ..

regarde autour d'elle . Oh un Pitouf !

Pardonne moi ma Véro .. une aile de poulet à partager ..

Un coup d'oeil à ceux qui viennent d'arriver . connait certains .. du bout de l'oeil .. attend . n'est plus rien qui puisse les interresser .. s'amuse .. allez lance une pièce .. attends qu'elle retombe .. pile .. ou .. face ..

Richelieu était inquiet de voir sa mère partir précipitemment.

Ramenez nous le en entier dit il à Véro et Micka. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis là bien évidemment.

Richelieu se dirigea ensuite vers le buffet pour grignoter quelques victuailles !

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Banquet pour fêter l'Indépendance 1456 - Page 2 Ldqi

alastor arriva car on lui avait parler de bouffe gratos

vu que sa femme était en déplacement elle ne pouait lui faire de bon petit plat donc il s'étais décider a venir ici

Il se dirigea vers le buffet et rejoignit richelieu et s'empifra un peu avant de saluer richelieu

Salut Pitchoune ca va bien?

Marquis de Provence Nombre de messages : 2309 Date d'inscription : 11/05/2007

Lordfear vit Arwen et son époux arrivait à sa table.

Messieurs, je vous présente Arwen Heimdallrson, Comtesse illustre de Provence et son époux, le Capitaine Jarlmorgoth.

Comtesse, vous connaissez bien entendu notre cher Maistre d'Armes que je ne vous présente point. Voici le Duc de Brocéliande, Amalric; le Grand Maistre de Saint Michel, Lothaire van Kessel; et un ami de longue date, le Duc de Lapalisse et Pair de France, Tixlu.

Tandis que la Comtesse de Provence et son époux s'intallait à la table, Lordfear remarqua qu'une femme accompagné d'un enfant s'approchait de la table. Elégante, la démarche distinguée, il reconnut tout de suite la Baronne de Brocéliande, Driweg, accompagné de son fils Riwan. Il lui fit un sourire de loin, puis regarda Amalric, son père, pour voir s'il avait remarqué l'arrivée de sa fille. Ce qui lui fit penser que les deux hommes devaient plus tard se reparler..

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Joueur de Lordfear, Ancien Marquis des Alpes Occidentales.

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Driweg rendit son sourire au Marquis, plus timidement. Comme son père ne faisait toujours pas cas d'elle, la jeune femme prit son courage à deux mains et s'avança.
Elle s'inclina bien bas devant Lordfear en disant :

_ "Votre Majesté, c'est un honneur et un privilège de vous rencontrer de nouveau. Je vous remercie pour l'offre grâcieuse de loger sous votre toit. Permettez que je vous présente mon fils Riwan Nathan de Brocéliande."

Le petit garçon salua le Marquis selon les coutumes et sa mère lui adressa un sourire rayonnant.

Nombre de messages : 150 Date d'inscription : 21/11/2007

Ysabelle prit une coupe de vin s'approcha d'une table qui était libre et décida de s'asseoir. Si elle était assise à une table de noble on lui dirait et elle changerait de place. Voilà tout.

En attendant, elle admirait les robes des dames. Elle se surpris à sourire en se disant qu'elle n'avait vu personne s'amuser. Pourtant on était bien à une fête. Elle haussa les épaules et continua à regarder tous ces gens défilés devant elle, en souhaitant reconnaître un visage connu.

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