Banquet pour fêter l'Indépendance 1456

Souriant après la remarque de dame Driweg.

Bah, qui ne risque pas sa vie l'a perdue par avance.

Puis, changeant de discussion assez abruptement,
Dites-moi, dame Driweg, je trouve votre père bien pensif ce soir, aurait-il des soucis ou un problème de santé ?

Pinss était au spectacle. Un François et un Breton qui se querellaient publiquement, il fallait dire que cela n'arrivait que rarement en les contrées impériales. Il faillit rire à gorge déployée quand le François, simple seigneur, garda la tête haute face à la provocation en duel, arguant sa noblesse comme argument de refus au conseiller personnel de la Grande Duchesse. Les François étaient donc hautains à ce point pour se vanter d'une seigneurie ? Peuplade étrange et exotique. A moins que ce ne fut son haut poste chevaleresque. Mais de ce côté, Pinss ne put rien en penser, puisqu'il n'avait jamais entendu parler de Saint Michel. Malheureusement, l'ambiance se détendit et Pinss dut trouver un autre sujet d'occupation. Les charmants motifs qui ornaient le sol à ses pieds - à moins que ce ne fussent ses chausses sales qui avaient répandue un peu du sol provençal dessus. Ou alors la façon de vidanger son verre le plus rapidement possible avant qu'il n'y ait d'empoissonnement malencontreux.

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 03/12/2007

Rekkared a écrit:: Rekkared, voyant Guilhem arriver, s'approcha pour le saluer.

Voyant Rekkared s'approcher

Adieu Messer Bar, cossi va?
Se aguèssi saput que vos aicí seriam, vos aguèssi prepausat de amassa viatjar.

Puis jetant un coup d'oeil à l'agitation alentour

Me demandi cossi bretons an capitat de venguér d'aquí a Occitania causar de la escarsina... Los cugèri afasendat endacòm-mai...

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 22/05/2007

Elle prit Driweg et Archimbaud par le bras et en souriant les emmena vers le buffet.

"Allons faire honneur à tout ce qu'a fait préparer notre hôte.
Et oublions le fâcheux."

Alors invitons messire Fufanu à nous joindre, je m'en voudrais de le faire attendre, déclara Archimbaud en cherchant du regard l'intéressé.

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 16/07/2007

Lothaire chercha Fufanu afin de lui souhaiter le bonsoir et lui dire qu'il ne resterait pas une minute de plus avec une usurpatrice. Il le chercha donc du regard.

[ LJD Pinss, si ton perso a quelque chose à dire, les paroles existent et permettent à Lothaire de répondre …. Les attaques par pensé, c’est plus que moyen … Sinon, mon MSN est MaximeVDS@hotmail.fr]

C'est ainsi que la Grande-Duchesse, les sires Fufanu et Archimbaud ainsi que Driweg gagnèrent le banquet.
Cette dernière répondit au breton :

_ "Rassurez-vous, Messire. Mon père est peut-être bien la seule personne de la famille en pleine santé, avec mon fils bien heureusement. Je ne sais pas de quoi il s'entretient avec le Marquis des Alpes Occidentales mais il est vrai que son air est grave."

[Moyen mais certainement utile quand on a un perso pas très courageux et surtout qui manque d'interlocuteur Razz

]

Et pendant ce temps, l'on abandonnait la langue françoise un peu partout dans la salle. L'un entamait le Breton, l'autre une langue du Sud à laquelle Pinss n'entendait rien. Comme celui-ci pourrait-il se rendre intéressant au milieu de tous ces multilinguistes ? Il marmonna une brève excuse au comte Cassandre, et s'approcha à grands pas du gamin qui lui tenait lui de chancelier, lui tapota l'épaule pour qu'il se retourne et lui dit à voix forte :

« Ähhh... Wie geht's, Herr Kanzler ? »

Heureusement que le germain était peu répandu à l'ouest, parce que son accent était à recoiffer la tignasse incoiffable du jeune baron.

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 16/07/2007

[Désolé alors ... Je n'ai rien dit silent

. Il faut que, comme Lothaire j'apprenne à la fermer]

Lothaire vu Fufanu en compagnie des roturiers bretons ... il prit donc un autre verre de vin avant de dire :

Niets om te doen, verkies ik het bier.

Et bien oui, le flamand n'était pas encore représenté... Et le jeune Grand Maistre, lorsqu’il s’agissait de bière se montrait d’humeur flamande (je sais, ça veut pas dire grand chose …)

Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 30/11/2007

Décidément, interrompre le Chancelier dans ses retrouvailles avec sa mère etait devenu un jeu pour eux. Enfin, les responsabilités etaient les responsabilités, et si l'intelligent-ambassadeur-marchal d'armes-père et compagnie voulait parler, il parlait.

"Ähhh... Wie geht's, Herr Kanzler ?
- Sehr gut ! Danke, aber... kennen Sie mich erklären... warum Sie mir auf Deutsch sprechen ? Il se retourna dans un grand sourire à sa mère. Désolé, les affres de mes hautes responsabilités."

Tout de même, ce Pinss... des fois... woh.

Rekkared répondit à son ami Guilhem :

« Adieu ! Benesti, e vos ?

veni de París, mas, òc-ben-òc, podrem amassa viatjar cap a Lengadòc.

òc, aquel breton es batalhièr... »

[merci de ne pas faire agir Fufanu, surtout que c'est un peu lui l'hôte pour la réception et il va falloir qu'il gère son affaire ^^]

Fufanu était au plus mal, il était dans une facheuse situation, d'un côté les alliés bretons et de l'autre son ami. Que faire de tout de ça. Il vit au passage le regard d'incompréhension de l'ambassadeur comtois, les occitans palabrer en occitan (quelle surprise ).

Lothaire semblait bien nerveux, la tournure de la fête ne semblait plus du tout être à son aise. Il s'approcha donc de lui et dit à voix basse.

Lothaire, je suis fortement désolé de la tournure des événements. Je pensai notre terre bien loin des conflits actuels. Souhaites-tu rester, ou bien tout cela te semble insupportable. Bien que je te préfère ici, je comprendrai que tu vueilles partir. Dans ce cas, je te ferai préparer quelques bouteilles de vin rosé pour ne pas que tu gardes un gout amer de ton déplacement.

Cassandre en entendant chacun y donner de sa langue se leva, le va son verre et se ficha totalement de passer pour un âne, il y en avait assez ici pour pas être démasqué et passer inaperçu :

Marquisat Long żywy, długo żyć każde państwo niezależnie od jego pochodzenia i naszych członków, nawet jeżeli przywódcy nie są najlepsi, ludzie pozostają ludzie i nie cierpieć na nasze traktaty i kłótnie.

traduction simultanée car Cassandre viens des pays de l'est à la base il ne faut pas l'oublier :

Longue vie au marquisat, longue vie à chaque peuple peu importe sa provenance et notre appartenance, et cela même si les dirigeants ne sont pas les meilleurs, le peuple reste le peuple et n'a pas à souffrir de nos traités et querelles.

Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 16/07/2007

Lothaire mit la min sur l'épaule de son ami Fufanu à l’écart et lui dit à mi voix :

Si un pair de France supporte ça, le cousin de la Reyne en question a du mal … je m’en irais donc, mais je reste en Provence au moins jusqu’à demain, je passerais en ton domaine. J’ai de la bière pour toi

Il lui fit un clin d’œil.

De la bonne bière flamande de chez mon frère. NE t’en fait pas, les bretons resterons des chiens par nature, une question d’habitude, tu n’y peut rien, je suis bien désolé d’avoir un peu gâché la festes, mais je ne pouvez laisser ces insultes sans rien dire. Mais bonne soirée et bon anniversaire à la Provence donc

Cadavre Nombre de messages : 467 Date d'inscription : 10/05/2007

Mickaelle revint des jardins et eut l'impression de se trouver au pied de la Tour de Babel. Elle s'approcha de Lothaire.

Messire, croyez qu'en Provence nous sommes terre d'accueil. Tous les invités d'ici l'ont été par le Marquis et la Comtesse de Provence pour la fête de notre Indépendance. Soyons à la fête .. Cet anniversaire est d'importance pour nous.

Elle lui lança un regard

Triquons !

Levant son verre et élevant la voix, elle cria

A LA PROVENCE LIBRE !

Fufanu comprit que les français détester autant si ce n'est plus les bretons que les provençaux avaient du mal avec les impérialistes.

Bien, je te rejoindrai au plus vite, nous pourrions profiter des thermes en sirotant le meilleur breuvage du plat pays. Rien que d'y penser, je savoure cet instant par avance.

Si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésite pas à le demander à un valet, ils ont une charge autant qu'ils l'honorent.

Fufanu quitta donc Lothaire légérement désabusé, il se dit qu'avant de rejoindre les bretons, il se devait de saluer les comtois. Il se dirigea donc vers les deux jouvençaux.

Messer les comtois, comment allez vous. J'espère que le spectacle offert par les tensions franco bretonnes ne vous donne pas l'envie de partir ?

Océane qui discutait avec les deux ambassadeurs fut intriguée par l'agitation qui venait d'éclater. Deux hommes se lançaient des menaces, des insultes, on entendait parler de Bretagne, de France, de Roy. Mais aussi de duel. En tant que Sénéchal du Domaine Marquisal D'Avignon, Océane était garante de la sécurité dudit domaine, mais également de la bonne tenue du banquet. Elle s'excusa aupres des ambassadeurs, posa son verre, et se dirigea vers l'homme qui semblait être le conseiller Archimbaud. Ce dernier était en conversation avec la Grande Duchesse de Bretagne et la Baronne de Brocéliande. Il fallait qu'elle lui parle également. Océane se présenta devant les bretons, et s'inclina respectueusement.

Reyne de Bretagne, Baronne de Brocéliande, Conseiller Grand Ducal, je vous présente mes respects. C'est un plaisir et un honneur de vous rencontrer. Je me nomme Océane da Pazzi, Sénéchal du Domaine Marquisal. Je souhaiterai m'entretenir quelques secondes avec le conseiller Archimbaud, si cela est possible.

Driweg salua la sénéchale d'un chaleureux sourire :

_ "Bonjour Dame Da Pazzi. Je suis heureuse de vous voir. Le Marquis m'avait prévenu dans nous aurions à nous rencontrer. Ne soyez pas trop sévère avec notre Archimbaud, s'il vous plaît."

Océane répondit au sourire de Driweg par un même sourire

Oui, je suis chargée par le Marquis de m'assurer que votre séjour soit des plus agréable, pour vous et votre fils. Nous aurons donc encore l'occasion de nous revoir. Concernant le conseiller Archimbaud, je souhaite simplement qu'il m'explique le pourquoi de ses cris, et s'il y'a un probleme, qu'il m'en parle.

Arwen sourit à la réponse de son époux, il avait toujours les bons mots dans ce genre de situation et c'était si vrai. Puis elle l'observa faire avec Melvin, il était vraiment devenu son Papa, elle les trouvait vraiment adorables ensembles. Puis elle sourit de plus belle lorsqu'il lui fit la remarque sur Melvin

"Vous êtes surtout magnifiques les deux comme cela, il va suivre tes traces comme il est parti là"

Puis il se pencha à son oreille, elle l'écouta attentivement sentant son coeur battre plus fort, elle affichait un tendre sourire ne cachant pas son émotion. Et lui répondit dans un même murmure

"Moi aussi je t'aime mon amour, je suis si fière d'être ton épouse, j'ai tellement de chance"

Alors qu'elle reprenait place sur son siège accompagnée toujours de son époux et des enfants, elle pensa que la situation se prêtait pour qu'elle lui annonce la nouvelle même si le lieu n'était pas adéquat tout le monde avait l'air pris ailleurs à discuter. Elle regarda tendrement leurs enfants avant de plonger son regard dans celui de son époux avant de continuer à chuchoter

"Ce bonheur va être encore plus complet bientôt mon coeur, les enfants vont enfin pouvoir porter notre nom et tu seras officiellement leur Papa. J'ai vu avec le Comte de Menton et Monseigneur Ingeburge cela ne pose aucun problème, nous n'avons plus qu'à déposer notre généalogie à la hérauderie."

Son coeur battait encore plus vite en disant cela et sa voix avait tremblée, leur famille serait enfin officiellement reconnue, quel grand jour c'était. Mais alors qu'elle était prise par les émotions des cris d'une dispute arrivèrent jusqu'à la tablée. Elle leva la tête un peu surprise cherchant à savoir ce qu'il se passait, inquiète en repensant à l'attaque du carrosse et aux hommes qui voulaient la tuer ainsi que le Marquis. La situation avait l'air d'être gérée, il s'agissait de dignitaires étrangers mais elle n'entendait pas précisément leur propos perdus parmi la foule. La Sénéchale était non loin et avait l'air prête à faire son travail cette fois. Elle se retourna vers son époux toujours souriante

"Et bien nous avons de l'animation ce soir, j'espère que cela va s'arranger"

Melvina commençait un peu à s'agiter sur ses genoux, elle cherchait son sommeil car il était tard mais avec le bruit cela lui était difficile. Elle savait que le Château comptait de nombreuse chambre puisqu'elle avait déjà visité une fois peut-être pourrait-elle en utiliser une pour les enfants avec un garde devant. En attendant de demander au Marquis lorsqu'il serait disponible elle câlinait délicatement du bout de ses doigts le front et les cheveux de la petite pour la détendre et l'endormir. Alors que celle-ci se détendait elle observait son époux et leur fils d'un air attendrie avant de chuchoter à nouveau

"Je crois qu'ils sont fatigués, je vais voir pour leur trouver une chambre que l'on puisse profiter de la fin de la soirée et se mêler un peu plus aux invités"

Elle tourna la tête vers le Marquis espérant un moment de calme dans sa discussion pour lui demander discrètement

Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 03/12/2007

Rekkared a écrit:: « Adieu ! Benesti, e vos ?

veni de París, mas, òc-ben-òc, podrem amassa viatjar cap a Lengadòc.

òc, aquel breton es batalhièr... »

Tout en ecoutant la réponse de son compatriote, Guilhem apercu le chancelier Marquisal, qu'il salua d'un mouvement du chef et d'un sourire. Celui ci essayait bien diplomatiquement de ramener le calme en cette assemblée comportant quelques frères ennemis. Heureusement, la majorité savait mettre de coté ses differents pour dignement feter ce qui les rassemblait tous, l'anniversaire d'un ami commun, mais il en fallait toujours un pour faire quelque esclandre.

Va plan, va plan...
Es doncas ausit, anirem amassa d'aqui a Càstias, ont se lo volètz, podretz fàser una arrestada.
Atal venètz de païs d'oïl, benlèu tenètz novàs de Margarida?

Sur quoi il entendit:

Citation :: A LA PROVENCE LIBRE !

Il attrapa un verre sur une table et le leva bien haut
E a l'Occitania!

Durant l'altercation le jeune homme n'avait pas ouvert la bouche. Bien que choqué par les insultes envers Sa Souveraine, il ne voulait pas se battre alors qu'il était invité.
Et puis après tout, le chambellan breton récemment nommés était capable de défendre la Bretagne tout seul, cela ne servait à rien que de se créer un ennemie en ce francois.

La tension à moitié retombé, il rejoignit sa mère. Il entendit la sénéchal l'appelé "Baronne de Brocéliande". Il sourit.
-Madame ma mère, pourrais-je goûter ce breuvage que vous semblez apprécier ? Je n'ai jamais goûté autre chose que le chouchen produit en vos Baronnie d'Anast et de Concoret.

Voyant dame Océane venir s'enquérir de l'agitation passagère, Archimbaud s'expliqua avec son objectivité légendaire.

Nul besoin de vous inquiéter dame sénéchal, un Français a pensé pouvoir tenir tête à un Breton au jeu de la plus grande gueule. Il a visiblement perdu.
Je crois qu'il a préféré la souillure à la mort. Chacun ses gouts, en somme.
Mais dites-moi, j'ai ouï dire que dans votre marquisat, pareilles affaires en venaient rarement au sang.
Désolé, mais il semble que c'est la seule chose que les Français comprennent pour discuter avec nous. Ils ont tenté par trois fois d'envahir notre beau pays breton, semant la mort et la destruction.

Alors, c'est un peu une question d'habitude. Que je le déclare en duel plutôt qu'il me fasse assassiner dans le dos, c'est ce qui a du le déstabiliser.
Heureusement, j'ai connu un certain nombre de Français valables, sinon je n'aurai pas pu accepter la charge qui est mienne.

Nombre de messages : 24 Date d'inscription : 06/09/2007

Prévenu un peu tard des festivités, Xolotl entra dans la salle du banquet vêtu de la tenue qu'il affectionnait, une aube blanche et un manteau capuchonné blanc frappé à droite de la croix de l'inquisition et à gauche de la Croix de Saint Lazare. Le seul ornement qu'il s'était autorisé à porter était la croix d'or d'Aristote ainsi que l'épée qui lui avait été offerte un an plus tôt par le Roy d'Espagne Imnaril, dans des circonstances bien étranges. La fête battait son plein et toute la haute société s'était donné rendez vous. Peu habitué à ce genre de festivité, Xolotl se glissa entre les invités et chercha du regard un visage connu.

Océane écouta attentivement le conseiller expliquer la situation

Je ne connais pas la version de votre opposant, donc je ne me prononcerai pas sur le fond de votre dispute. Je peux comprendre que si l'homme en question vous a offensé, vous souhaitiez défendre votre honneur, mais concernant les duels, vous conviendrez que je n'aurai put autoriser tel reglement de compte. Ce n'est pas tant une question de coutumes provençales, c'est surtout une question d'incidence diplomatique. Quel image aurait on donné au reste des royaumes, si nous provençaux, pour notre fête d'indépendance, nous autorisons un français et un breton à s'entretuer? Du cygne, du vin, du fromage, puis en dessert des coups d'estoc? Non, bien entendu, cela n'est point concevable.
De plus, les seuls personnes pouvant sortir une arme sur le domaine marquisal, sont moi et mes gardes marquisaux. Mais en dehors du domaine d'avignon, je n'ai plus autorité, donc le duel aurait été permis.

Elle s'arreta, puis reprit

Mais je suis heureuse que la situation se soit calmée. Continuez a passer une bonne soirée Conseiller Archimbaud. Les mets sont délicieux, le vin est bon, rien ne doit pouvoir faire ombrage a de telles réjouissances!

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