Banquet pour fêter l'Indépendance 1456

[ Bien, je suis un peu en retard … dommage une prise de bec avec Archi aurait était plaisante …]

Lothaire avait tiqué à l’annonce du triste sire Archimbaud. Il fronça le nez et fit mine de rien entendre, il avait eu des écho du personnage et ne voulais pas gâcher la fête des provençaux pour des débats stériles il dit quand même à l’adresse de qui voulait l’entendre e,n son entourage propre ...

Le Roy de France à, en plus des autres, le mérite d’estre légitime sur ses terres …. Lui.

Puis il but une lampée de vin. Son ami Fufanu vint le voir il lui sourit et lui serra la main.

Cher ami !!! Il est un plaisir de vous voir ici, j’imagine mesme que ma présence séant est de vostre faict … Il est un réel plaisir de revoir cette région, bien que non françaises … Pour l'Alençon j'espere que ça ira encore pour 8 jours, et oui, je suis toujours Connétable.

Il sourit à ces mots.

Apres qu'il fut passé a autre chose, Plus précisément a la reprise de l'enfant dans ses bras, et a d'autres occupations bien plus distrayantes que la remarque concernant un fait, totalement nuisible au climat de bonne entente et d'amitié de la provence...Une dame du languedoc vint Leur présenter ses voeux...Il semblait que c'était la premiere fois pour Jarl qu'on l'appelait Comte, cela lui fit drôle, il n'était point habitué a ce genre de choses...il accueillit la dame Zouzouille avec bienveillance, et répondit a ces salutations tout en faisant un signe a pol.


Bonsoir, Dame.

Je vous remercie pour vos voeux, je ne doute pas qu'ils se réaliseront...

Et je souhaite autant de prospérité au languedoc, puissions nous continuer notre relation en confiance, et en toute amitié, le languedoc et nous.

Il proféra ses mots alors que Melvin retrouvait ses bras avec Bonheur, et s'aggripait a sa chemise, n'éprouvant aucune considéération particuliere pour les broderies, comme tout enfant digne de ce nom...Il avait l'air aux ange, ce petit chérubin...Jarl portait encore, lors de sa réponse, le regard de sa Wenou dans le sien, et ses yeux n'avaient cessé de briller alors qu'il se tenait droit, fier, et completement amoureux de sa femme, la Comtesse...


Soudainement, l'air se fit plus sombre, et une petite personne que Jarl n'avait pas remarqué, tout attentif qu'il était a Sa Wenou, aux enfants, aux présentation...A vrai dire, il n'y avait rien de remarquable devant la silouhette venant saluer la comtesse... ne venant pas le saluer lui...le sourire légerement goguenard, il s'inclina juste assez pour demeurer plus grand que la dame qui venait de lui manquer de respect :

Bonsoir, je vous rend le salut que vous n'avez pas daigné m'accorder,
Dame...

Citation :

Monsieur, Dame Kinna est une amie et ne mérites pas vos propos. Je vais lui faire part dès que possible

Il prit un air étonné.

Plait il? Aurais je cité ce Nom quelque part?

Il est vrai que j'ai parlé de choses fortement inconvenantes a la provence, toutefois, Si vous associez cela au nom de votre "amie" ,je ne puis qu'être d'accord avec vous, et vous considérer peut être comme une personne de peu de courtoisie, mais de bon sens, cela est certain...Répétez lui ce que vous voulez, a chacun ses valets, et a chacun sa notion d'amitié...

Bien vite ils s'étaient quittés sur ces mots, avant de reporter son attention sur le futur gentilhomme que sera Melvin...


Tu vas bien, la soirée ne te dérange pas trop? Je sais que toute ces grandes personnes inconnues, ca fait bizarre, et ce n'est pas très drole, mais ce sera vite finit...

Le petit garcon sourit avant de cacher la tête dans le creux de l'épaule de Jarl, celui ci eut un leger rire et s'exclama

Allons donc, j'ai visé juste, mais je ne m'en étonne pas, j'étais pareil que toi, a ton age...Un jour, sans doute, tu te retrouveras toi aussi, a parler avec un petit bonhomme sur tes genous....

Il souriait vraiment, la joie du mari comblé et du pere accompli pouvait se lire dans ses yeux...Il se tourna une fois de plus, rayonnant vers Wenou et lui murmura, la voix chaude, timbrée de bonheur


Regarde le, n'est il pas magnifique? Il n'y a rien a faire, malgré tout les atours qu'a cette vie, le bonheur vivant , ce sont bien nos beaux enfants...

Il se pencha a son oreille et murmura

Et bien sur, les étoiles de tes yeux, ton splendide sourire, et ces si belles rondeurs qui annoncent ta tierce maternité....J'aime ce bonheur que tu m'offres, je t'aime...

Il oubliait la salle, les gens l'entourant, la cérémonie, le banquet, sa perception se limitant de plus en plus a Sa femme, leurs enfants...et son sourire s'élargissait, au fur et a mesure que la vision enchanteresse prédominait

La jeune Driweg ayant rejoint sa Grande Duchesse, Mickaelle vit Pitouf s'éloigner un peu. Elle lui trouva une mauvais toux. Elle le rejoignit un verre à la main. Elle connaissait son caractère bougon, qui ne cachait qu'un grand coeur qu'il prenait soin de masquer.

Mon Pitouf .. tu devrais te soigner .. je n'aime pas cette vilaine toux !

Entendant la sortie de Lothaire, Archimbaud ne put s'empêcher de rire à voix haute.

Grand Dieu, voilà bonne plaisanterie ! Lévan légitime en France ! C'est vrai que le bougre s'est bien débrouiller pour éliminer tous ceux qui avaient pu le contester de vive voix lors de la fronde.

Mais, vous êtes bien jeune, messire de la famille de Lilin, pour avoir connu les frasques de Lévan le parricide et assassin du pape Nicolas V.
Il a eu l'intelligence d'épouser chez ses ennemis afin de faire taire les ragots.

Enfin, n'est pas légitime qui veut. Il n'y a que lorsque la souveraineté est librement consentie que l'on est légitime. Dans le cas contraire, on est en tyrannie, comme c'est le cas de la France, quoi que vous puissiez dire.

En cela, vous pourrez vous référer à La Politique d'Aristote, finit-il en dégustant ce qu'il restait de son vin, les yeux rieurs.

Entendant le débât qui avait lieu tout près entre le breton et le françois, Driweg fronça les sourcils. Elle s'excusa auprès d'Evenice en lui précisant qu'elle serait de retour dans un instant.
Puis elle se dirigea vers Archimbaud pour poser une main glacée sur son bras. Soucieuse d'éviter une confrontation inutile et vaine, elle lui dit :

_ "De grâce, Messire, ne vous lancez pas dans de pareils raisonnements. Je vous comprends et vous suis absolument mais nous sommes ici pour féliciter la Provence d'avoir su, comme nous, échapper à la griffe de son Suzerain. Venez, la Grande-Duchesse et moi-même nous apprêtions à goûter les mets de ce pays. Accompagnez-nous. J'aurais par ce biais le plaisir de faire plus ample connaissance avec votre personne."

Elle salua d'un signe de tête poli Lothaire de Cassel et invita d'un geste de la main Archimbaud à la suivre jusqu'au banquet où attendait toujours Evenice.

Edit: Prise en compte des deux réponses

Lothaire passa outre les différentes remarques et mouvement, fixant Archimbaud dans les yeux il lui dit, dans un grand sourire :


Il me semble qu’à l’époque où vous estiez Duc et baron en Orléans et que lorsque vostre nom fut proposé à la pairie, vous l’aimiez bien, NOSTRE Roy … ou bien vous n’estes point cohérents a travailler pour ses terres. JE pourrais donc dire à ma cousin,e Nostre Reyne qu’aujourd’hui vous gâchez les quelques potentiels qui sont vostre à ramper tel un lombric devant un bande de cloportes se prenant pour Grand Duc et austres sans aucune légitimité. Car pour nous les terres de Bretagne sont Françoise et en vacance de siège. Vous estes pathétique sieur …

De plus vous parlez de tyrannie je pense qu’une peuple qui se prépare à une guerre avec tout ce que cela implique vit en plus grande tyrannie qu’un peuple pouvant élire leurs représentants …

Quant à La Politique, D’Aristote, nous interprétons cela comme nous le voulons … Mais en matière d’interprétation et de manipulation, je ne peut rien vous apprendre …

Quant à Lilin, enfin pour vous c’est "Sa Grâce le duc de Saint Florentin", il ne vous salut point.

Puis toisa du regard Archimbaud avant de se rincer la gorge d’une gorgé de vin de Provence.

Archimbaud regarda messire Fufanu et dame Driweg l'aborder.

Il entendit messire Lothaire insulter la grand-duchesse alors qu'elle était présente. L'insulter à la troisième personne comme s'il lui était supérieur.

Il fit un signe aux deux personnes qui l'abordiaent pour s'excuser et se retourna vers le mécréant.

Messire de Cassel, vous êtes loin d'avoir la classe de votre parent Lilin.
Vous venez d'insulter une personne invitée à cette table sans même vous être adressée à elle, en ceci, c'est votre mort que je demande immédiatement.
Un duel à mort qui se déroulera dans les jardins afin de ne pas souiller cette réception par votre sang impur.

De noblesse, vous n'en avez que le titre. Vous insultez les personnes qui vous invitent en rabaissant ainsi une de leurs invités.
Je vais donc à la fois réparer l'honneur de ma reine et celui de nos hôtes.

Se retournant vers dame Dwireg et messire Fufanu.

Désolé de vous laisser ainsi en plan. Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'ai un pseudo noble à corriger définitivement.

[ HRP : les règles que tu veux Lothaire, mais le duel est à mort si tu ton personnage l'accepte.
Comme le forum est tenu par des personnes extérieures au conflit France-Bretagne, je pense qu'ils peuvent arbitrer sans que l'on pense à un biais quelconque.

Désolé par avance aux joueurs qui n'apprécient pas un RP impromptu et peu mondain, mais les circonstances sont ce quelles sont. Nos personnages à Lothaire et à moi ont des caractères de cochon. Il fallait bien que cela arrive un jour.

N.B. Mon msn : davidavanessoff@yahoo.fr

Edit : corrections orthographiques]

Très agréablement surprise par l'accueil de son Seigneur et presque flattée par ses propos, esquisse un sourire.

C'est très aimable a vous.
En se qui concerne les joutes, je vous regarderais et vous encouragerais avec grand plaisir et je vous promets de ne pas rire au cas ou... fronce légèrement les sourcils ... se dit ... je dois pensé a prendre un éventail et vous remercie de m'avoir indiqué le chemin ou je devrais me rendre
ajoute en dernier lieux J'espère que vous savez que vous pouvez compter sur moi et me demander ce qu'il vous plaît et je ferrais de mon mieux pour vous satisfaire, cela concerne également le travail que j'effectuais jusqu'à présent

[hrp...le rouge ça nous changeras du marron ..!]

Driweg courut jusqu'à sa Grande-Duchesse. Devait-elle lui dire ce qui allait se dérouler sous peu ?

_ "Tante Eve...", commença-t-elle la gorge sèche.

La jeune femme jeta des coups d'oeil désespérés autour d'elle et croisa le regard de Lordfear.

Archimbaud s'incline devant le dignitaire provençal.

Bien entendu, je respecte les usages des terres provençales et nous irons régler ce différent où bon vous semble.

Driweg arrive en courant, elle est blême..et lui explique en deux mots l'altercation entre Archimbaud et Lothaire de Cassel.
Elle se précipite vers son Conseiller et lui pose la main sur le bras..

"Laissez mon ami, laissez, ne vous comportez pas comme ce détestable personnage qui fait honte à notre hôte.
La boue n'atteint que lui puisqu'il ne respecte pas les vertus nobles qu'il est censé avoir en ce lieu et à cet instant."

Sentant une légère pression sur son bras, Archimbaud se retourne.
Il baisse légèrement le regard, ne sachant trop comment dire ce qu'il avait à dire.

Ma reine, je me dois de refuser d'ignorer une insulte faite à votre encontre.
Kentoc'h mervel eget bezan saotret, dit-il en se retournant vers son futur adversaire.

Lothaire sourit au breton puis dit :

Décidément ... Bien, je ne répond qu'aux insultes que vous faites de vostre Roy ! Quant au duel, je ne me bat pas contre la roture ... Bien que tuer de la vermine ne serait en rien me déplaire ! Sachez que mon épée ne sera point sali ainsi du sang d’un porc roturier ! Et je me vois donc contraint de refuser le duel qui serait pour vous que trop d’honneur ! Pour les insultes sachez queje ne laisse personne insulter le Roy impunément surtout quant on connaît vostre parcours, chien !

Elle comprend la réaction de son Officier grand ducal, nul breton ne baisse les yeux ni les bras devant une insulte faite à la Bretagne, et elle est l'image de la Bretagne..
Elle lâche donc son bras et le regarde droit dans les yeux.

"Alors, faîtes honneur à la Bretagne Messire Archimbaud, notre devise est notre loi."

Archimbaud laisse largement le mépris transparaitre dans son visage. Il manque cracher par terre pour marquer son dédain mais se retient, ne sachant si c'était d'usage icelieu.

Il soupire et se retourne vers sa reine.

Votre honneur est lavé ma reine, ce nobliot est trop lâche pour mourir, il n'est point Breton.

Si vous me permettez, je vais discuter avec dame Driweg et messire Fufanu.

Elle lui sourit..

"Allons Messire, avant sa réponse je vous avais bien dit qu'il n'avait aucun sens de la noblesse, un titre ne suffit pas, vous le savez bien!!"

Driweg s'approcha de nouveau :

_ "Messire Archimbaud, vous m'avez fait une belle peur."