Banquet en l'honneur des deux ans d'Indépendance

Caillinette arriva timidement au banquet, avec la plus grande des surprise, elle vit son amie Chrysopale avec sa petite. Elle traversa la grande salle et au passage salua tout ses amis.

Bonsoir Réthy, comment vas tu ? Cailli lui fit la bise et se dirigea jusqu'à sa tendre épouse Yluxe. C'est magnifique !!! Quel beau banquet !!!! Ce serait un plaisir pour moi, que de rester un petit moment avec vous. Elle fit un gros bisous à Chrysopale, et la petite Célia.

Alors comment vas-tu ? Tu sais que j'ai hâte que tu reviennes à Marseille. Oh mais tu sais je vais faire un tour de Provence avec mon fiançé donc j'espère que l'on se croisera à Toulon.

Cailli lui sourit. Oh tout ces bons plats me mettent l'eau à la bouche !!!! Ces couleurs, ces odeurs hummmm un vrai délice !!!

Cailli fit un tour sur elle même et aperçue la belle Belissende. Oh excusez moi un instant s'il vous plait.

Nerveusement elle alla à la rencontre de Belissende qui était assise à sa table aux côtés d'un charmant jeune homme, dont elle semblait très proche. Elle la salua d'une voix douce et timide.
Bonsoir petite sœur !!! Je sais cela doit te paraitre étrange, mais j'aimerai qu'on se parle. Dis moi as-tu vu notre frère Bubu ? Je le cherche partout mais je ne le trouve pas !!!! Elle resta figée devant elle le sourire aux lèvres admirant la beauté de sa sœur...

Ryan ? Le cœur de la jolie poupée blonde se pinça et un frisson parcouru son échine. Par réflexe, elle posa une main sur son poignet gauche auquel avait été attaché durant de très longs mois une petite clochette qui tintant était destinée à lui laisser croire que son époux était toujours à ses cotés... Une folle idée de vain romantisme. Comme son alliance, elle avait du la retirer pour se rendre en Provence.
Comme elle voyait Yluxe mal à l'aise, Driweg se força à sourire d'un air détaché.

_ "Merci. Je suis très fière de mon fils, oui. Si Aristote nous reprend des êtres d'exception, ça ne peut être que pour nous en donnez d'autres."

Quand sa future belle-sœur lui dit ne rien vouloir à faire avec le monde politique, la bretonne eut un nouveau sourire. Elle avait grandi dans le monde politique. Toute petite déjà, elle suivait son père partout, aux réunions du conseil ducal, en ambassades... Comme elle voulait tout faire pour lui plaire, elle avait étudié sans relâche jusqu'à ce que sa tante Aliéniore, dont elle portait d'ailleurs le nom, voyant ses capacités, lui propose à 11 ans une place sur sa liste aux élections ducales, élections qui l'avaient couronnée. La politique, elle était née dedans. Tous ses proches y étaient jusqu'au cou. Elle pouvait difficilement s'en passer même si elle lui avait causé les plus grands troubles de sa vie, les plus grandes peines, et même si elle l'avait arraché au monde de l'enfance beaucoup trop tôt.
Revenant de ses pensées, Driweg dit :

_ "Je ne suis jamais allée jusqu'à Marseille. Comment est-ce ? J'ai entendu dire que le soleil si chaud du sud y a brûlé toute la verdure et qu'il a peint les pierres des maisons en or..."

Elle accepta le verre de vin que lui tendit Yluxe et écouta son histoire sur la manière de trinquer.

_ "En Bretagne, nous disons "Irmat". Mais soit, puisque nous sommes sur le sol de Provence : Vive Valèque !"

Elle but.

Cailli écouta la charmante Dame futur épouse du Marquis pris un verre, la regarda.

A vous Dame à votre union Vive Valèque et à la Bretagne Irmat et Trugarez !!!!!!!!!!

Cailli lui fit un large sourire et but son verre pensant aux agréables moments, qu'elle a pu vivre lors d'un de ses voyages en Bretagne.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 17/02/2008

"Je suis vraiment heureuse de vous voir, Vero ! votre compagniie est un plaisir dont je ne me priverais pas !"

Lysa souriait, elle s'installa à coté de son tendre époux et accepta le verre proposé, elle avait soif et faim.

"L'héritier ou héritiere se porte comme un charme, il ou elle n'arrete pas de gigoter quoique là, il ou elle s'est calmé... Cela m'arrange. Et c'est pour très bientot, je prie Aristote que je n'accouche pas ici et que j'ai le temps de rentrer chez moi ! Vous partez donc en voyage ? Ely et vous viendrez-vous en Gascogne ?"

Riwan Nathan a écrit:: Très Heureux de vous connaître...

Monseigneur. Archevêque d'Aix ? Vous devez donc remplacer Son Eminence le Primat du SRING ?

Tout à fait votre Altesse. Son Éminence Ingeburge m'a accompagnée tout le long de ma vie. Et sa confiance en moi pour ce poste m'emplit de joie et de fierté.

Riwan Nathan a écrit:: Je vous remercis Monseigneur. Mon avenir à moi semble déjà tracé...

Fils et Petit-fils de Souverain, je devrais épouser une Princesse étrangère.

Ludovi crut entendre une pointe de regret dans ces mots. Immédiatement le cœur de Ludovi vacilla. Pfff il était noble maintenant. Cette situation était classique. L'arrangement des mariages était une chose commune, mais Ludovi n'arrivait à s'y résoudre. C'était contre sa nature, et c'était d'ailleurs contre la volonté divine ! Il repensa aux propos qu'il martelait chaque jours lors des baptêmes.

Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour.

Pfff. Il n'était pas marqué que la politique avait un rôle la dedans. Afin de ne pas s'énerver, il cessa de réfléchir sur ce point qui le révoltait.

Riwan Nathan a écrit:: Sans cela, j'aurais peut-être épousé comme vous la Sainte Église.

Le visage de Ludovi se ré-éclaira. Votre piété vous honore Altesse. Cela nous fait donc un point en commun. Smile

Riwan Nathan a écrit:: Je dois vous avouer une chose: mes connaissance religieuses sont extrêmement réduites. Vous pouvez peut-être m'aider, n'y a-t-il pas un sorte de Collège où les laïcs peuvent parfaire leurs connaissances ?

Je suppose que vous êtes baptisé depuis belle lurette votre altesse. La pastorale doit donc être connue pour vous, cependant il existe des séminaires. Je ne saurais vous dire si il y en a un en Bretagne, mais je sais qu'il y en a un à Lyon et un en Provence bien entendu. mais cela vous fait un peu loin je suppose. Souhaitez vous que je me renseigne pour la Bretagne ?

Riwan Nathan a écrit:: Vous êtes CaC également ? L'économie provencal va-t-elle bien ?

Hum. Malheureusement non. Elle a été un peu négligée il me semble ces derniers temps, et nous subissons la crise de surproduction de plein fouet. Mais me revoilà à la barre et j'ai bien l'intention de ramener tout çà àbon port. Il rit.

J'ai déjà été CaC environ 6 mois. Et on me surnommait Gripsou . Gripsou annonce donc son grand retour. Il rit de nouveau.

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Esmerine restée discrète jusqu’à présent pour respecter le Protocol, qui ma foi semble avoir été mis de côté, décide de se mêler aux autres elle aussi….
Voyant le mouchoir de son Papounet chéri s’agiter dans tous les sens, éclate de rire et tente de voir vers qui cette tentative d’attirer l’attention est destinée…
Le fils de la baronne semble-t-il…Étrangement séduisant malgré l’allure hautaine et désintéressé…

La jeune Cianfarano détourne les yeux justes à temps! Il s’en faut de peu pour qu’elle n’entre en collision avec une table bien remplie de desserts, plus alléchants les uns que les autres. Y fait une halte, prend ce qui semble être une profiterole bourrée de crème et mord dedans à pleine dents. Se dépêche de l’engloutir, s’essuie discrètement mais oublie un peu de garniture sur le nez…

Enfin arrivée, elle sourit chaleureusement à ses parents avant de leurs faire une grosse bise…
Quel bonheur de vous voir! Vous êtes radieux tous les deux! Je cherche ma sœur, vous ne l’auriez pas vu? J’ai bien parlé à son fiancé, elle ne devrait pas être bien loin pourtant!

Sinon, tout va comme vous voulez?

Yunette essayait de ne pas craquer... Elle avait beau respirer calmement, le plus profondément possible, le fou rire de Chrys commença à la gagner.
Il faut dire que Felipe avec un nouveau né dans les bras était vraiment cocasse.

Elle rejoignit donc la Chambellan dans son délire, n'arrivant plus à se contenir et finit par glisser de son siège; elle resta là, riant toujours assise à terre, sans pouvoir amorcer un mouvement pour se rassoir.
Dès qu'elle commençait à ralentir la cadence et à respirer plus calmement, ses yeux se posaient sur soit Chrys, soit son enfant et s'en était fini.

Les larmes aux yeux, elle finit par réussir à se rassoir et tenta tant bien que mal de reprendre quelque contenance, fixant son assiette, les joues écarlates, de honte et d'avoir trop rit.

Tizo état complètement perdu au milieu de tout ce monde. Ici tout était si grand et si luxeux : le château, la place, le Marquis ...
Il aperçu le Duc de Gascogne et le Comte de Languedoc qu'il connait se vue. Et enfin, ENFIN !!! Il trouva son homologue Edorazio.

Excellence !!! S'accrochant à son bras ... Je vous trouve enfin. Je me suis perdu sur la route ... le Mistral ayant emporté ma carte ... J'ai perdu une malle ... J'ai une grande faim, m'accompagnez vous au banquet ? J'ai apporté des bouteilles d'eau de vie de poire, une spécialité des nos montagnes.

Invité

Cianfarano, l’âme perdue dans son verre, écoutait avec bonheur les rires de Chrysopale et de Yunette…Il était doux de constater que l’atmosphère se dégageait progressivement du protocole habituel…Enfin, la Provence redevenait elle -même, vibrante, souriante et spontanée ! Et le fait d’entendre sa Ravissante et sa Belle-sœur trinquer au rythme des « Valeque » et des « Irmat »boulassiers le mit réellement en joie !

Une tornade de tulle et de soierie le sortit de sa Rêverie : Cailli venait d’arriver dans le Saint des Saints. Les Marseillais aimaient fêter l’Indépendance de la Patrie, c’était un fait. Il se leva, lui fit la bise chaleureusement et lui dit…

Et bien, tu vois, Cailli ! Tu as osé pénétrer Avignon ! Je suis fier de toi !

Il laissa la jeune dame se présenter au reste de la tablée, quand il …Constata que sa Fille Esmerine venait de lancer une nouvelle mode : la perle pâtissière du nez ! Il lui affirma, les yeux en étoiles…

Ton Papounet est comblé, Esmerine ! Que dire de plus devant tant de Goût ? Si ce n’est…Tu es la digne Fille de ta Maman ! J'en suis désolé, mais ta sœur Chacha n’est point encore arrivée …Veux-tu que je te présente à ta future Tante ?

Son père la dévisageant d’un air amusé, la jeune femme fronce les sourcils…Les yeux dans le même trou, fixant le bout de son nez, Esmerine voit la crème…

Devient rouge comme une tomate, sourit largement à son père et essuie du bout de son doigt le petit pignon blanc…

Citation :: Veux-tu que je te présente à ta future Tante ?

Esmerine écarquille les yeux, se tourne doucement vers la Baronne qui deviendra la future Marquise et sourit timidement…

Puis, murmurant au creux de l'oreille de son Papounet…
Rho mais tu en as de ses questions! Biens sûr que j’aimerais rencontrer ma future tante! Elle semble si charmante et pleine d’émotions comme tu dis si souvent!

Le fait que Yunette succombe également à la crise de fou-rire n'arrangea pas l'état de Chrys. Elle était secouée de forts tremblements, en proie à un rire incontrôlable et silencieux. Elle pouvait à peine respirer.

Yunette qui tomba de sa chaise fut trop! Par un moyen qu'elle n'arrivait pas à s'expliquer, son rire augmenta encore d'intensité, et elle se félicita d'avoir repoussé plats et couverts pour Célia, car elle venait de plus ou moins s'effondrer sur la table.

Une de ses mains serrait très fort le tissu de sa jupe, comme si se concentrer sur cet acte allait l'aider à reprendre la maitrise de ce qu'elle faisait.
Elle respira une fois ou deux, se calmant en apparence, et fit un signe discret à un valet, qui comprit directement le message.

Les portes de la salle de bal s'ouvrirent.

Chrys lança un regard à la ronde et croisa à nouveau celui de Yunette. Mauvaise idée, le rire reprit...

Citation :: Je suppose que vous êtes baptisé depuis belle lurette votre altesse. La pastorale doit donc être connue pour vous, cependant il existe des séminaires. Je ne saurais vous dire si il y en a un en Bretagne, mais je sais qu'il y en a un à Lyon et un en Provence bien entendu. mais cela vous fait un peu loin je suppose. Souhaitez vous que je me renseigne pour la Bretagne ?

Monseigneur, bien entendu que je suis baptisés, depuis ma naissance. En Bretagne on est aristotélicien ou on n'est pas. Cela a l'immense avantage de nous protéger des horreurs hérétiques de nos voisins normands; mais aussi l'inconvénient de ne pas nous pousser à approfondir notre foi.

Lorsqu'il me propose de se renseigner pour la Bretagne, mon visage se rembrunit.
En Bretagne notre Primat n'est pas comment dire... Oui, comment dire ? Après avoir rapidement passé en revues un dizaine d'adjectif, tous insatisfaisant, je change d'épaules: Il n'est pas vraiment un amis de la famille; même si Madame ma Mère a le don d'être amis avec les moins amicaux.
Mais, je peux peut-être profiter du Séminaire de Provence; il dure combien de temps ?

Lorsque nous abordons le sujet du commerce, je suis surpris par la surproduction en Provence... et ma tête le montre bien.
Vous êtes en surproduction ? Mais de quoi ? De notre côté du Monde, c'est plutôt l'inverse...

Riwan Nathan a écrit:: En Bretagne notre Primat n'est pas comment dire... Il n'est pas vraiment un amis de la famille; même si Madame ma Mère a le don d'être amis avec les moins amicaux. Mais, je peux peut-être profiter du Séminaire de Provence; il dure combien de temps ?

Oh bien sûr que vous pouvez. Il dure le temps qu'il faut. Tout dépend la vitesse à laquelle vous progresser et la disponibilité des correcteurs. Je ne suis pas professeur, mais je peux vous le faire suivre tout de même si mes collègues sont trop prit.

Riwan Nathan a écrit:: Vous êtes en surproduction ? Mais de quoi ? De notre côté du Monde, c'est plutôt l'inverse...

Ah oui ? Et bien nous surproduisons euh laissez moi réfléchir. Tout ou presque.

Et nos prix sont très bas. Si la Bretagne veut en profiter je ne suis pas contre au contraire.

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Excellence !!!

On lui agrippa le bras. Edorazio porta machinalement sa main à sa ceinture. Etait-il sot ! Il était en train de déguster le cygne planté sur sa dague... reconnaissant son interlocuteur, il sourit largement et inclina la tête.

Excellence Tizo van Dekamp ! Un nom imprononçable pour un latin comme lui.
Je vous trouve enfin. Je me suis perdu sur la route ... le Mistral ayant emporté ma carte ... J'ai perdu une malle ... J'ai une grande faim, m'accompagnez vous au banquet ? J'ai apporté des bouteilles d'eau de vie de poire, une spécialité des nos montagnes.
Hola, Excellence Chambellan ! Calmez vous ! Bénvinguts a Avignoùn ! Si vous apporttez de quoi boire, nul doute que vous vous ferez de la bonne compagnie !

Le florentino-catalan se mit à rire. Son Excellence Tizo lui était fort sympathique, encore un exemple de ce que pouvait donner la diplomatie entre gens intelligents et de bonne volonté : une espèce d'amitié sans nom, un entendement tacite qui se traduisait par quelques vidanges de bouteilles.

Je vous cherchais, justement. Je dois également trouver sa Grandeur, le Doge Margab de Genova... Cela vous contrarierait-il que nous cheminions un peu ensemble à sa recherche ?... Désirez-vous du cygne ?

Edorazio s'était déjà fait emboîter le pas par son interlocuteur. Une brebis retrouvée, une ! S'il n'était né fils de baron marchand, il y avait fort à parier qu'il eut fait un excellent pâtre.

Vous avez perdu une malle, disiez-vous ? Contenait-elle quelque chose d'important ? Je puis peut-être demander à mes gens de vous la retrouver...

Vitruvio resta silencieux après que la jeune Esmerine l'ai promptement ignoré , elle se leva et sans un regard se dirigea vers la table des Cianfarano . Il pris ça place et se servit généreusement du cygne et un calice de vin . Il fit une légère moue quand il trempa ces lèvres dans le vin , puis le but d'une traite , il essuya délicatement son menton avec la nappe . Il était a bon poste pour observer la pièce dans son intégralité . On oublier pas facilement six ans au poste de maîtres des soupires a Venise . Il secoua la tête et se resservi un cuissot de signe . Il sourit quand il vit la jeune promise sortir , suivit de prés par Sabran . Il but un longue gorgée de vin , levant son verre pour qu'il soit de nouveau remplit .
Il aperçu le coms de Lengadoc , il avait croiser a plusieurs reprises quand il était au château de Montpellier en temps que responsable du gué d'Uzes . Il sourit au bon vieux temps du pays d'Oc . Il observa ensuite le sourire aux lèvres les serviteurs d'Edorazio a l'oeuvre . Il se leva , vida son troisième calice et pris le chemin de la table des Cianfarano . Il fendit la foule calmement et arriver devant eux , fit une révérence .

Bonsoir a la famille Cianfarano , hommage a ceux qui m'ont accueillie a Marseille , que Dieu les gardes .

Citation :: Oh bien sûr que vous pouvez. Il dure le temps qu'il faut. Tout dépend la vitesse à laquelle vous progresser et la disponibilité des correcteurs. Je ne suis pas professeur, mais je peux vous le faire suivre tout de même si mes collègues sont trop prit.

Monseigneur, je vous serais profondément reconnaissant si je pouvais être admis en ce séminaire afin de parfaire mes connaissances sur la Sainte Église. Ce n'était pas tant que j'étais profondément pieux; c'est surtout que je m'intéressais au pouvoir de la religion, le seul pouvoir à être capable de se dresser devant les Souverains.

Ils sont en surproduction de tout à des prix bas ? Mais c'est Byzance ici !
Vous avez du fer, des pierres, du blé ? A quel prix ?

Le Seigneur Deminerve s'adressant à Max

Excusez-moi, il faudra que je vous présente ma suzeraine. Elle peut paraître froide, mais au fond, ce n'est pas le cas. N'est-ce pas Major?

Max aquiessa d'un sourire, il avait croisée la Princesse à plusieurs reprise, mais il se souvenait surtout, d'avoir partagé la même émotion l'or d'une cérémonie dans l'église de Forcalquier.
Son regard s'assombri quelques instants.

Puis croisant les yeux noisettes et pétillants de Beli, son regard s'illumina aussitôt.

Il la regarda manger, lui même prit une olive, la porta à sa bouche en la regardant d'un air malicieux.

Puis se leva, et rempli les verres d'un vin couleur rubis.
S'adressant à tous les trois.

Voulez vous que je vous apporte quelque chose,
Je vais moi même me chercher quelques légumes.

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Riwan Nathan a écrit:: Monseigneur, je vous serais profondément reconnaissant si je pouvais être admis en ce séminaire afin de parfaire mes connaissances sur la Sainte Église.

Et bien votre altesse, Je serais ravi de vous accueillir au siège des archevêchés de Provence. Nous serons ravi de recevoir votre altesse, et laissez moi vous dire que je suis très impressionné. Il est rare de trouver de si bons aristotéliciens.

Riwan Nathan a écrit:: Vous avez du fer, des pierres, du blé ? A quel prix ?

Ludovi sourit. Croyait il qu'il connaissait tout les prix de tête ? Et bien oui, c'était le cas. Décidément ce jeune homme était fort perspicace.
A vrai dire altesse, la Provence a pour habitude de beaucoup stocker le fer et la pierre. Ce sont deux denrées fortement importantes pour nos mines. Mais notre stock de fer croit chaque jour il m'est donc possible de vous en proposer aux alentours de 18,2 écus. Je reconnais bien volontiers que ce prix n'est pas des plus bas.

En ce qui concerne le blé cependant c'est bien différent. La surproduction est générale et je suis sur que l'on peut en trouver en grande quantité pour 12,5 écus, peut être même moins.

Nous avons également de la laine qui oscillent entre 11,5 et 12,5 écus, de grandes quantités de bois pour 4,5 écus, ainsi que de la farine à 15 écus et du poisson pour 18 écus. Il doit également être possible de céder du lait, des fruits et des légumes pour 10 écus je pense.

Et tout ces prix contiennent le coût du voyage. Je m'occupe moi même du transport.

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Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 14/10/2008

Salomé se tenait non loin de là, quand elle entendit les mots "Fer, 18,20 et transport". Ses yeux s'illuminèrent, et défiant les règles de la bienséance, elle se permit d'interrompre les deux jeunes gens pour prendre part à leur conversation.

Noz vat Messires. Je me présente, je suis Salomé, CaC de Bretagne, et je viens d'entendre des mots magiques sortant de votre bouche.

Elle s'inclina en une courte révérence, puis elle ajouta avec un sourire radieux :

Où peut-on signer le contrat ?

Asturion s'était bettement perdu dans les couloirs et avait enfin trouvé la salle du banquet.

Il entra, la salle était comble, les discussions et les rires fusaient de toute part.

Apres quelques minutes il se prit a se demander ce qu'il faisait là, il ne connaissait personne, le temps lui semblait s'etre arrété, et pour dire vrai il commençait à s'ennuyer.

Invité

Belissende sentit le regard posé sur elle et releva les yeux pour voir Max porter une olive à sa bouche ....

Elle faillit eclater de rire en voyant son air malicieux , mais par convenance se retint et essaya de se concentrer a nouveau sur son plat...

Le voyant se lever et remplir a nouveau les verres de vin ,
puis, demander qui voulait des legumes , elle le regarda à nouveau et lui demanda gentiment.

Oui volontiers mon Cher Max , je prendrai egalement quelques legumes , agrementés de quelques olives ....

Le regard taquin de Beli rencontra celui non moins malicieux de Max et un grand sourire elargit ses lèvres.....

Elle le retint soudain par la manche , au moment où il allait s'eloigner, l'obligeant à se pencher vers elle ...
D'une voix douce elle lui murmura

Ca va mon Max , je me comporte bien jusqu'a present ??

Elle ne put finir sa phrase , elle sentit le fou rire menacer et elle prit sa serviette de table pour la porter à sa bouche....

La Princesse tourna un visage radieux vers la fille de Rethy qui venait d'arriver :

_ "Bonjour Esmerine ! Je suis Driweg Aliéniore de Brocéliande. Ravie de te rencontrer. Il faudra que je te présente mon fils, je crois qu'il est dans tes âges."

La bretonne lui sourit avec chaleur puis suivit du coin de l'œil Chrysopale qui ouvrait une seconde porte à l'opposé de celle où s'était tenu le discours du Marquis. Elle put distinguer dans le fond un groupe de personnes armées d'instruments de musique divers. Son sang ne fit qu'un tour :

_ "La salle de bal !"

Elle rougit violemment de s'être exclamée tout haut et se leva en demandant aux Cianfarano :

_ "Aimez-vous danser ? J'adore. Revoyons-nous dans l'autre salle."

La jolie poupée blonde leur sourit et retourna au niveau de la salle d'honneur. Elle posa ses mains blanches sur les épaules de Riwan Nathan qui était toujours assis et discutait tranquillement de commerce avec le Compte d'Apt. Elle se pencha un déposa un rapide baiser sur les cheveux dorés de son fils.

_ "Regarde mon trésor, des musiciens !"

La Princesse jubilait comme une enfant. Elle n'aimait rien faire plus que danser et était donc au comble du bonheur. Ses grands yeux d'émeraude brillants croisèrent le regard du Marquis et son sourire béat faiblit un petit peu, de honte de se laisser ainsi emporter.

N'y tenant plus, elle se dirigea vers la salle de bal pour aller écouter la jolie musique de plus près.

Citation :: "Bonjour Esmerine ! Je suis Driweg Aliéniore de Brocéliande. Ravie de te rencontrer. Il faudra que je te présente mon fils, je crois qu'il est dans tes âges."

Esmerine s’incline devant la future Marquise et lui sourit chaleureusement…
Enchantée Baronne! Que la Provence vous dévoile ses beautés et la chaleur de son peuple!
Votre fils hein…La jeune femme jette un regard discret vers celui-ci et sourit…Je crois qu’il est bien occupé en ce moment…

Et pour répondre à votre question…Ho que oui nous aimons danser! La jeune femme éclate de rire en regardant Sa future Tante rougir et se diriger vers la salle de bal...

Voilà que Vitruvio arrive...Vitruvio! Oupss...elle est partie sans même le lui dire, trop énervée de voir ses parents qu'elle ne voit que trop peu...
Elle le regarde tristement...
Pardon mon ami! Je suis désolée une vraie girouette je suis! Honte à moi!
La jeune femme lève les yeux au ciel,soupire et lui offre son plus beau sourire...
Tiens! Je vais aller voir cette salle de bal moi aussi...À plus tard!
Esmerine s'excuse auprès de ses parents et se dirige d'un pas rapide vers la salle de bal...

Cailli allant à gauche à droite, de table en table, picorant de délicieux mets ici et là, aperçoit le charmant Vitruvio attablé tranquillement, mais avec un regard évasif et triste. Elle se rapproche de lui :

Bonsoir Vitruvio !! Quel plaisir de te voir mon ami. Dis moi ça ne te dérange pas que je m'installe à côté de toi. On pourra parler et déguster tout ces bons plats.

Cailli lui sourit malicieusement et regarde partout

Mais où est Louis ?? Ce gourmand, il va manger les gâteaux sans moi ????

Cailli le regarde tout sourire

Bubu arriva et en regardant autour de lui vu ses deux soeurs!!

salut les filles.

Alors on en profite pour se divertir un peu?

Allez qui des deux plus belles filles de ce bal j'invite en premier?

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