Cérémonie en l'honneur des soutiens étrangers [juin 1458]

Yvain arriva dans la salle suivi des responsables de la domesticité du château afin de leur indiquer l'agencement de la salle pour la cérémonie qui se tiendrait le mardi suivant.

La Marquise avait été très claire sur ses demandes et Yvain la connaissait suffisamment pour savoir que toute patiente qu'elle parût ainsi que le laissait entendre son surnom de Comtesse, elle savait être extrêmement exigeante.

Il fit venir le maître charpentier et le Majordome :

Il faut une estrade au fond de la pièce, qui logiquement devrait accueillir les trônes comtal et marquisal, mais le Comte sera-t-il suffisamment rétabli pour assister à la cérémonie? Par contre le Grand-Duc breton y assistera et a rang égal avec la Marquise... Vous prévoierez donc deux trônes. Réfléchissant Ah non.. il en faudra trois.
Installez des fauteuils pour les diplomates et représentants étrangers, ainsi que des sièges en grand nombre de part et d'autre de l'allée centrale pour tous les combattants helvêtes, génois et catalans. Ah! prévoyez aussi une place pour les interprêtes...

Continuant à faire le tour de la salle avec le Majordome, il poursuivit :

Il faudra aussi deux tables de part de d'autre de l'estrade. Sur l'une d'elles on disposera les médailles civiles et militaires ainsi que les étoiles marquisales. L'autre par contre sera réservée à la cérémonie d'anoblissement des deux nouveaux vassaux du Marquisat : Livre des vertus, couronnes, écus, registres...
A l'autre bout de la salle, prévoyez un buffet pour la fin de la cérémonie. Sa Majesté compte honorer ses hôtes, certains auront fait un long chemin.

Le Comte de Rocca Barbena, vêtement avec la divise des Cavaliers Mauriciennes fut la premier génoise à arriver, les domestiques avaient à peine terminé de préparés tous.

La salle était belle, tout était propre.

"Elle sera une belle cérémonie et reverrai beaucoup amies".

Il se mit d'un coté en attendant les autres invités.

Le Commandant de almogàvers, entrez dans la salle,

La chambre est très bien préparées,est connu par tout le protocole de haut niveau provençal.

Rocabertí, note la grande beauté et majestueux de la salle,puis il salue les bons amis qu'il a faits pendant la guerre.

"Bonjour, mes amis, bienvenue rencontre dans des circonstances plus heureuses."

Oleguer est arrivé à ce château spectaculaire le matin de ce mardi de juillet. Quand il avait demendé oú il avait d'aller pour la cérémonie ils l'ont accompagné vers la salle des cérémonies où était sur le point de commencer cette célébration dans laquelle étaient invités des gens des pays distincts de toute Europe. Quand il avait entrer dans la salle, Oleguer vu Rocabertí, son aprecié général que comme toujours il était des premiers à arriver. Après avoir jeté un petit coup d'oeil à la salle, Oleguer a décidé d'aller à une chaisse pendant qu'il réfélxionait un peu sur les expériences passées dans cette guerre à la Provence.

Ililtia était arrivé la nuit antérieure au Palau d'Avignon, un palais majestueux était, plein de richesse, elle était restée bien impressionnée par le château.

Ce matin on s'était habillé avec ses meilleures vêtements et elle était allé à la salle où on célébrait la cérémonie. En arrivant elle a vu à son compagnon Oleguer quelle joie, après tout ce qu'ils avaient passé, elle avait envie de le voir à nouveau. Un mica plus éloigné il était son général, en Rocabertí, elle est allé lui faire une embrassade et on a attendu que les autres invités arrivent.

Assot était venu à Avignon le matin même, fatigué, sale et a accueilli la première entrée qui a été trouvé et maintenant propre et porter des vêtements propres a été présentée au Palais d'Avignon, où certains fonctionnaires genre avait accompagné à la salle où la cérémonie a eu lieu. Le sel était bondé et sentir de nombreuses langues, verue alpoc était le capitaine de Rocabertí, qui était avec Oleguer et de l'illite. Il poursuivit sa route et ils ont été accueillis chaleureusement.

Oula la , la descente du Rhône en embarquant du port de Lausanne avait été perilleuse, mais bien assez rapide pour Brubrulegueux.
Arrivé en Avignon, il découvrit la beauté et l'ergonomie des lieux...
Merveilleux, vraiment merveilleux.

Il pénétra dans le chateau et toujours aussi enchanté faillit se perdre moultes fois.
Puis finalement arriva dans la salle des cérémonies.
Humm, un peu en avance à ce qu'il me semble... Pensait Brubrulegueux en attendant l'arrivée de la délicieuse Vicomtesse.

Arnau est arrivé rapidement, ne serait pas le dernier, mais la beauté du palais de retard. Il a vu le fond de la salle avec ses compagnons, de grandes difficultés vécu ensemble, mais maintenant, vu que tout ce qui s'est passé en valait la peine.
Il a été rapidement vers eux, salut tout le monde qui avait l'air.

Abrek, soldat génoise, se rendit au Palais d'Avignon.
Il s'inclina devant la noblesse de Provence et a salué les personnes présentes.

Ses affaires furent préparées en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, agréablement surprise par l'invitation de son fiancé qui jusque là voyageait seul, et la dernière absence, si courte était elle censée être, lui avait paru interminable.
Le voyage quoique fatiguant, et plus exactement douloureux à cause d'un certain morceau de métal qui ceinturait son bassin, elle avait réussi à garder sa bonne humeur, les paysages du sud étaient si dépaysant pour la jeune femme.

Nous arrivons, Adelinda mia. Je vais nous dégoter des lits moelleux et vous faire préparer un bain chaud dans la première auberge digne de ce nom que nous trouverons.

-Un bain, un lit, vos bras pour une sieste et mourir.. grommela-t-elle tandis qu'ils arpentaient les ruelles de la ville provençale à la recherche d'une auberge digne de ce nom.

Plus tard, propre, habillée élégamment mais sobrement, une coiffure, disciplinant ses long cheveux ébène, le regard ballant à la recherche d'un visage familier, elle se sentait particulièrement attirée par la contemplation discrète de l'élégant Italien qui lui tenait le bras, et comme aimantés, ses yeux finissaient leurs courses pour se perdre sur son visage, ou les détails de sa belle tenue.

Au fur et à mesure que les invités arrivaient, Yvain que la Marquise avait spécialement délégué à cette tâche, accueillait les visiteurs.

Votre Grandeur, dit-il à Weissmatten. Sa Majesté va être ravie de vous revoir! Votre place est là, dit-il en lui désignant un fauteuil à l'avant sur la gauche.

Plusieurs Catalans étaient déjà arrivés, donc Rocaberti qui avait souvent parcouru l'Etat-Major pendant la guerre.

Messires et gente Dame, dit-il à Rocaberti, Assot, Oleguer, Rei-Arnau et Ililtia, bienvenue en Avignon! Nous attendons une importante délégation de vos compatriotes. Vous pourrez prendre place là... et vous là Messire Rocaberti, dit-il au Commandant des Almogavers, lui désignant un fauteuil près de la table de droite.

Alba était entré dans la pièce. Celui-là, Yvain le connaissait : il avait vu la Marquise passer beaucoup de temps dans sa compagnie au cours des derniers mois

Messire Alba! Vous avez fait bonne route? Votre place se trouvera à côté de celle de Messire Rocaberti.

Il accueillit ensuite un arrivant qui portait les armes de Lausanne.

Messire, vous êtes le premier des combattants helvêtes. Nous vous avons réunis là... et il lui désigna une série de sièges. Vos compagnons ne devraient pas tarder.

Il se rendit ensuite au fond de la salle où se tenaient des domestiques et leur donna l'ordre de passer parmi les personnes réunies qui restaient debout échangeant quelques paroles, afin de leur servir à boire.

Les visiteurs arrivaient de plus en plus nombreux. On annonça un diplomate français, Nicolas de Firenze, accompagné d'une jeune dame.

Ah Vicomte! Dame... Son Excellence Duchessesherry devrait arriver sous peu ainsi que la Marquise. Veuillez me suivre, je vais vous conduire aux fauteuils destinés aux diplomates.

Puis ce fut le tour d'un Génois.

Messire, bienvenue au château d'Avignon! Et il indiqua à Abrek les fauteuils réservés aux Génois

Oh que de beaux sièges... regardait-il en défripant ses vêtements.

Brubrulegueux attendait patiemment que les autres viennent. Il songeait à l'époque où il n'était qu'un simple cuisinier sans autre arme que sa louche et son fameux alcool de Lausanne, le groggygnolet.


Alors le ghotta et l'élite de cette belle cité n'était pas son fort. Vivement que Blue Sirji, Géraldine du Valais, tous nobles arrivent. Que dire, qui voir ? Au moins sa Majestée...

Ne pas oublier le protocole, beaucoup de remerciements, des éventuelles prises de contact avec quelques marchands, des sourires, oui sourire.

Et le nouveau général de l'ACL sourit.

A son tour le Procureur de Provence Libre arriva pour la cérémonie de Rocaberti et un autre Messire qu'il ne connaissait pas .. Voyant Ladoce déjà arrivée il alla la saluer .. Coucou Ladoce dit Agadir en souriant, tu va bien ?

Maliak arrivé au château après avoir reçu l'invitation de la Comtesse.
il était orgueilleux de telle considération.
il mettait l'habit de Cavaliers Mauriciennes .Pendant qu'il se rapprochait du château il reconnut beaucoup de dieux Cavaliers et Nobles avec lesquels il avait de côté combattu hanche, et cela le rendait encore plus fier.
il reconnut son ami et mentor aussi le Comte Weissmatten, son ami et cavalier Abrek,e nombreux autres...
le château était décoré de pied en cap, la cérémonie allait commencer......
Maliak il se rapprocha de la comtesse pour la remercier du geste gentil eu.......

En Robafaves entré dans le château un peu confus une fois que j'avais marché sur la Provence avec son útim Almogàvers bataillon avait gagné une bonne raclée à l'erreur, les choses de la guerre.

Avec son invitation pauvres français a remercié et félicité toute la noblesse à la grande victoire. Il savait que la victoire a été très importante et se sentait honorée d'avoir été là pour contribuer leur part.

Immédiatement allé saluer ses collègues Almogàvers avec eux parler le catalan ...

Lionel n'avait jamais pensé revenir en provence un jour, jusqu'à ce qu'un pigeon fatigué ne lui apporte le message suivant:

Citation :

Bonjour,

La Provence et le Marquisat reconnaissants tiennent à honorer les combattants qui sont venus se battre à leurs côtés lors du récent conflit.

Vous êtes invités à une cérémonie qui se tiendra mardi 22 juin 1458 dans le Castel d'Avignon :

Dans cette attente,
Mes salutations

Hersende de Brotel
Marquise du MAO

Ca laissait peu de temps pour se préparer. Dabord prévenir les autres, fermer la forge, prendre des dispositions pour les champs, préparer la tenue de voyage et des vivres pour la route.

Le jour du départ venu, il se mit en route avec ses compagnons. Ils étaient moins nombreux que lors de leur premier départ, avaient quelques rides (ou peut être des cicatrices) de plus, mais cette fois ci ils ne risquaient plus d'embuscade en chemin.

Ils allaient profité de l'occasion pour accomplir leur propre pélerinage: les lieux de bataille, la tombe de sortide, celle de tchantches.....

Arrivés sur place il y'avait du monde qui avait fait le déplacement. Il en reconnaissait quelques uns, pas tous. Il n'avait pas réalisé à l'époque que tant de gens étaient venus du monde entier défendre la liberté de cette région.

Bon ils approchaient du chateau, tout avait été prévu pour leur arrivée, les chambres étaient beaucoup plus confortables que pendant la guerre.

Le jour de la cérémonie venu il se rendit avec les autres dans la grande salle où elle devait avoir lieu.