Thème 6 : Les relations avec L'Eglise

Ce n'est pas l'Église qui ne veut pas, c'est le Pape. Allez donc lui demander de changer d'avis...

Si vous n'êtes pas baptisé, et que vous gagnez, en effet, cher Weissmatten, c'est une loi qui vous empêchera d'être Comte. Et cela s'est déjà vu.

Les rapports avec les autres cultes, c'est niet. La Provence est aristotélicienne.

Enfin, je m'étonne qu'on ne parle pas du Marquis? On le dit aristotélicien, mais l'est-il vraiment? A-t-il jamais assisté à une messe? A-t-il un chapelain et confesseur privé comme tout souverain digne de ce nom?

Non è la Chiesa che non vuole, è il Papa. Chiedetegli di cambiare parere...

Se voi non siete battezzato, e vincete, caro Weissmatten, sarà una legge che vi impedirà di essere Conte. E questo si è già visto.

I rapporti con gli altri culti, è no. La Provenza è aristotelica.

Infine, mi stupisco che non si parli del Marchese? Lo si definisce aristotelico, ma lo è veramente? Ha mai assistito ad una Messa? Ha un cappellano e confessore privato come tutti i sovrani degni di questo nome?

Je pense qu'il a Richelieu1 qui s'en ai occupé plus qu'activement de ce côté là ... Je parle de la ferveur et de la foi du Marquis.

Cari figlioli, scusatemi per l'assenza da queste sale.
A giorni saro' il futuro Arcivescovo di Genova. Per quanto riguarda la libertà di culto, ricordo a tutti che siamo nel 400', la cosa non è ammissibile, non siamo in grado di parlare con il senno di poi.
Spero che questo punto sia chiaro.
La Provenza e Genova sono Stati Aristotelici.

Chers fils, excusez-moi pour l'absence de ces salles.
Sous peu je serai le futur Archevêque de Gênes. En ce qui concerne la liberté de culte, rappelez-vous tous que nous sommes en 400, la chose n'est pas admissible, nous pouvons parler avec les idées actuelles
J'espère que ce point sera clair.
Le Provence et Gênes sont des États Aristotéliciens.

[HRP : dites moi si je commets des erreurs de traduction]

Non, je ne vois pas autre chose ...

Mise à part d'essayer de faire un concordat commun, c'est un peu comme les coopérations judiciaires autant qu'elles soient communes aussi non? Certes tjs pas signées au nom du marquisat (c'est peut être un autre thème à créer)

No, non vedo altro...

Salve fare un concordato comune, ma è come le cooperazioni giudiziali. No? Firmate sempre non al nome del marquisat, questo è può essere un altro tema a creare,

Ieri sono stato nominato Arcivescovo di Genova, e presto presentero' in Consiglio della Repubblica il nuovo Concordato.
Credo che il Marchese debba essere garante della Santa Chiesa fornendo protezione ad essa.
Credo che la cosa sia sottintesa.

J'ai été nommé hier Archevêque de Gênes, et je présenterai bientôt en Conseil de la République le nouveau Concordat.
Je crois que le Marquis doit être le garant de la Sainte Église en lui fournissant protection
Je crois que la chose devrait être sous-entendue.

Le papier effectivement ça fait beau et ça flatte l'égo ...

Comme certaines places que l'on désire pour s'afficher ... Enfin je crois que l'on me comprend.

On en veut pas toujours plus?

Maistre Daemon ... Vous savez que votre intervention (imbécile, une de plus) vous vaudrez un joli procès? Ne serait ce que pour apprendre à respecter votre suzerain? Enfin dans sa bonté, il vous pardonnera ... Après tout, pour ce que vous êtes ... Point besoin de s'en offusquer ...

Ah la frustration de pouvoir, ça rend certains méchants ... Personnellement, c'est l'incompétence qui me rend méchant ... Et je ne citerai pas d'exemple ... (Encore une citation en JNCP, de ce que l'on peut voir comme exemple d'incompétence en Provence ... Non respect de la charte du juge sans sanctions ... Pendant, que vous faites le malin ici, eux se foutent de votre gueule la bas ... Et il touchent bien plus de gens ... Et sont bien plus convainquant ...)

De toutes manières, qui ne cesse de rappeler son rang de peur, qu'on ne le juge que sur ses qualités personnelles? Certainement pas le marquis mon parent en effet ... Quelques petits seigneurs qui ont peur qu'on les oublie, car ne s'illustrant pas sur des actes, mais sur leur absence de travail, de proposition ... Allez donc ragez un peu avec votre ordre ... Ici ma voix est égale à la votre.

(Pour une fois que vous ne vous cachez pas derrière des PNJ pour lancer des légumes ou que vous vous acharnez à étaler votre mépris via des pensées ... Quel dommage qu'Océane ne soit plus ... Je crois savoir que vous aimiez ses soufflets ... )

Mais le Marquis de Provence n'est point mon suzerain, la seigneurie de Ceyreste est vassale de la baronnie de La Ciotat qui elle même vassale du comte Illustre de Provence lui même vassal du Marquis mais entre nous aucun lien direct...

Quand à mon poste de Maistre d'Armes, mon supérieur est bien le Marquis qui peut me révoquer si bon lui chante, je vous l'accorde.

Voici pour l'explication sur notre noblesse, puissiez vous la retenir pour ne point faire d'erreur la prochaine fois.


Mon rang de noble même si du plus bas niveau, m'oblige à me faire connaître de mes interlocuteurs, c'est une obligation non une façon prétentieuse d'exister.

Encore une fois j'ai bien peur que vous vous méprenniez. Quand au Marquis, sachez relever l'humour quand il s'y présente, je pensais que mon sourire serait assez explicite, je me suis trompé, mille excuse pour l'offense qui ne voulait en être une.

Daemon n'était point personne que l'on pouvait intimider facilement, son ton était serein et calme.


[Encore une fois pas besoin de Hrp]

Cela va en effet au delà du papier, car nous avons besoin d'une véritable amélioration des relations entre Rome et le Marquisat.

Si Rome ne reconnait pas aujourd'hui le Marquisat, elle a su travailler avec lui (avec la Régente lors de la guerre en italie, et auparavant avec le Marquis lors de la presque-guerre avec l'Empire). Mais Rome n'a jamais voulu reconnaître Lordfear comme Marquis. Et le Marquis (comme l'illustre d'ailleurs la faiblesse de l'affirmation dans les anciens statuts), a été un bien piètre modèle d'Aristotellicisme (il réside dans ma paroisse; jamais vu à la messe...). Travaillant aujourd'hui sur les textes, nous devons les renforcer dans le sens de cette volonté de faire progresser les choses.
Rome ne nous reconnait pas? Ce n'est pas Rome qui fera le premier pas, c'est à nous de persévérer encore et encore, jusqu'à ce que notre exitence, comme entité politique profondémment Aristotellicienne, soit tellement évidente que Rome ne pourra plus que constater.