Cérémonie d'allégeances Mai 1456

Un pli aux armes de Lantosque arriva. C'était la seconde fois que Snake ne venait pas en personne.

Le comte la parcourut des yeux, puis ordonna la rédaction d'une réponse.

Citation :: A Cédric Von Valendras, vicomte de Lantosque,

Cher vicomte, ne vous excusez pas de votre nouvelle absence, je la comprend fort bien.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Cédric Von Valendras, vicomte de Lantosque.

Je vous offre en retour mon Aide si vous êtes dans la difficulté, la Justice qui vous est due et vous renouvelle Subsistance.

Fait à Avignon, le 17 Juin 1456
Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre

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Cérémonie d'allégeances Mai 1456 - Page 2 Ldqi

Nombre de messages : 166 Date d'inscription : 16/06/2007

Une colombe blanche déposa un parchemin aux pieds du Comte:

Citation :: Actuellement en voyage universitaire, je vous envoie ma colombe, espérant que la paix accompagne votre mandat.

Moi, Kalaha, baronne de Martigues, prête allégeance au VIe Comte de Provence libre, Ludovi de Sabran. Je mets mes compétences, mon travail et ses fruits à la disposition de la Provence et de son Comte.

Bien à Vous
Baronne Kalaha, votre obligée

Coum !

En ce jour, qui sans nul doute est béni pour vous par Aristote, Christos et tous les saints qui se peuvent reposer en le Soleil, je viens plier le genou gauche devant vous.

Mon genou gauche ploie, car je reconnais la pleine suzeraineté de la couronne des Coums d'Ais sur le fief du barounat de Mérindoù, autrefois cédé à moi par le Coum Merlin le Grand de la Nissa, et qui, l'ayant fait prospérer bien davantage que chacun d'entre vos autres vassaux, m'a toujours permis de remplir les devoirs les plus élémentaires de la féodalité moderne ; je plie donc le genou gauche, afin de vous promettre obsequium, auxilium, consilium. Puissiez-vous faire bon usage de cette promesse, si tant est qu'un jour vous en fassiez usage, ce qui m'étonnerait, car je n'ai jamais vu le moindre suzerain en Prouvènço demander consilium à ses bons et loyaux vassaux.

Je viens néanmoins, aussi, confirmer ma sentence antérieure au sujet de votre présence à Mérindoù. L'affront que vous m'avez infligé au travers de votre parjure indigne d'un Coum de Prouvènço concernant ma vassale, la dona Heulynn de Cadenet, vous condamne à ne jamais mettre pied en Mérindoù, sous peine de pendaison immédiate. Néanmoins, je consentirais volontiers à vous pardonner lorsque vous aurez fait, pied nu, le chemin d'Ais à Cadenet afin d'y apporter un pied d'olivier, que vous planterez au pied du Casteu de Cadenet. Cette repentance sera l'unique moyen honnête pour vous de payer la dette d'honneur que vous avez ouvert au comptoir Pazzi, sans quoi vous serez pour l'éternité concerné par la devise de ma lignée ; "Un Pazzi paye toujours ses dettes". Ce qu'il reçoit, il le rend, ce qu'il doit, il le restitue.

Enfin, je refuse de plier le genou gauche.

Je suis Viguier de Marselha ; vous m'avez nommé ainsi, vous-même ; vos conselhiers m'ont autorisé à lever troupes au nom de la Viguerie ; vos conseliers me nomment ainsi ; vous avez représentant à mon Conseu ; la Viguerie fut reconnue par votre prédécesseur, le vicoum Deubs ; jamais allégeance portée au nom de la Viguerie ne me fut refusée ; partout, chacun connait le nom de la Viguerie, mais partout on me répond aujourd'hui qu'elle n'est guère reconnue. On dénie le droit à la Viguerie d'arborer ses armes et ses ornements ; on dénie le droit à la viguerie de gérer elle-même ses fiefs ; on critique le droit fondamental de la viguerie d'avoir ses propres forces armées

Aussi donc, Coum, jamais Viguier de Marselha ne fera plus allégeance et hommage à Coum d'Ais tant qu'il ne sera plus ratifié officiellement, entre Ais et Marselha, que l'ancien principat de Marselha dépend effectivement aujourd'hui du pouvoir comtal d'Ais, et qu'il s'est érigé en Viguerat puisque le seul moyen moderne de concilier notre culture marseillaise et notre amour de Prouvènço. Acceptez-vous, oui ou non ? Si, par votre bouche, j'apprends dès aujourd'hui que vous refusez de reconnaitre la Viguerie, alors nous en serons revenu au temps du Principat de Marselha, et saurais donc quelle situation est celle de mon fief.

Marquise de Provence Nombre de messages : 14718 Date d'inscription : 14/05/2007

Hersende qui n'avait pas quitté la salle, intervint :

Baroùn, il me semble que lorsque vous me prêtâtes allégeance en tant que Viguier, je n'acceptai point celle-ci après avoir pris conseil auprès du Maître d'Armes, le Com Godgaby, qui m'avait enseigné que jamais la Viguierie de Marseille n'avait été officiellement été reconnue par les Comtes de Provence...

Se tournant vers Richelieu, elle poursuivit :

Veuillez m'excuser, Votre Grandeur, de m'être permis cette parenthèse

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Hersende de Brotel
Cérémonie d'allégeances Mai 1456 - Page 2 Marqui12

Question déjà tranchée une demi-douzaine de fois ; la comtessa Hersende, elle le savait fort bien, n'avait guère accepté l'allégeance, mais ne l'avait guère non plus accepté. Divers témoins en ont déjà attesté, devant la comtessa Hersende, qui continue à utiliser toujours le même argument erroné.

Oc, oc, S'Aussada, quel dommage que vous n'ayez jamais fait part de votre refus en temps et en heure.
Je me demande d'ailleurs en quoi cela aurait modifié la situation actuelle.

L’illustre vit ensuite s'approcher le baron Pazzi. Quelle nouveautée allait lui être présentée cette fois encore.

Le Baron fit son énnoncé et trouva réponse auprès d'Hersende qui s'excusa de son ingérence.

Moi ludovi de Sabran, VIème Comte de Provence Libre accepte votre allégeance, Farok Pazzi, pour vos terres de Mérindol. Soyez assuré de recevoir Aide Justice et Subsistance une nouvelle fois.

L’illustre sourit, se voyant déjà en train de faire du Jardinage sur les terres du Baron. Laissons cela pour l’instant se dit il.

Concernant la viguerie Marseillaise Baroùn, je ne suis que Comte de Provence. Je n'ai pas ce pouvoir. Le pouvoir d’instituer ou non cette viguerie ne m’appartient pas. Il appartient au Conseil Comtal. En l’Etat, comme vous le dites il n’existe aucun texte validé par le Conseil Comtal qui officialise la viguerie de Marseille.
A l’heure actuelle, Marseille est une ville Bourgmestrée, pas un fief. Je ne peux donc pas accepté cette allégeance sans vous leurrer.

Je suis favorable à l’établissement d’initiatives locales. Cependant qu’elles sont les prérogatives actuelles de la viguerie ? Personne ne le sait car rien n’a été signé par le Conseil Comtal. J’y suis favorable a condition qu’elles soient cadrées.

Comprenez que je ne peux pas vous donner un fief qui n’existe ni aux yeux du Comté ni à ceux de l’AHAO. Marseille est une ville bourgmestrée dont le pouvoir appartient au maire et au conseil Comtal.

Il y a donc 1 chose à faire. Présenter une demande au Conseil Comtal afin que celui-ci ratifie un texte. Dans ce texte il devra être stipulé les statuts et les pouvoirs de la viguerie et du viguier en totalité. Si vous demander que la viguerie soit un fief il faudra également l’accord de l’AHAO. Une fois ceci fait vous pourrez prêter allégeance à l’illustre.

L'illustre donna ensuite réponse à la Baronne Kalaha.

Citation :: Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Kalaha, baronne de Martigues

Merci encore de votre investissement. Que votre voyage se passe bien et qu'Aristote vous guide.

Je vous offre en retour mon Aide en tout domaine, la Justice dont je saurais faire preuve et vous procure Subsistance.

Aix le 19 Juin 1456
Ludovi de Sabran VIème Comte de provence Libre

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Cérémonie d'allégeances Mai 1456 - Page 2 Ldqi

Fufanu glandouillait dans un coin de la salle, les barons commençaient à défiler, il se dit que bientôt il s'avancerait à son tour.

Nombre de messages : 1259 Date d'inscription : 03/06/2007

Présent aussi dans l'assemblée, après s'etre eclipsé un instant à la chancellerie pour tuer le temps, il resta droit, attendant son tour.
Lo Baroùn Deslacetes semblait etre le prochain, à moins d'une indication contraire ou par ordre de préséance, il prendrait sa suite.

Nombre de messages : 1259 Date d'inscription : 03/06/2007

Voyant que le maitre d'arme ne s'avançait pas, sans doute voulait-il encore une fois présenter son allégeance le dernier, comme il le fit déja auparavant.
Il s'avança alors pour la seconde fois en direction de celui qui représentait le Comtat de Prouvènço, pour le meilleur et pour le pire.
S'éclaircissant la voix, il dit alors :

"Ieu, Philibéro Tinoù de Cortilloles, fiéu de Fabio de Cortilloles et de Catherine de Cortilloles, née de Ponthrieux, à ce jour Portapàraula de lou Provençou Libre, poblant de Comtat de Prouvenço Lieure y de Marchese dei Alpi Occidentaï, Baroùn de Ieras par la volonté de la Còmtessa alors Illustre, Arwen Heimdarllön, dite l'Honnete,

Pretons en ce jour allégeance au Comtat de Prouvenço, nous sommes à la disposition de la terre qui nous a vu naitre, nous lui promettons nosta man, nosta cap et nostas camas afin que rayonne toujours, et malgrè certains troubles et troubles faits, sa Grandeur."

Le baroùn de Pertus entra dans la salle en silence, il regarda un instant son neveu, puis pris place non loin afin de se présenter devant lui des que cela sera possible...

Le porte parole s'avança ensuite et fit son hommage en Provençal. Après avoir décodé, l'illustre répondit froidement.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Philibéro Tinoù de Cortilloles, baron de Hyères.

Recevez en retour Aide, Justice et Subsistance.

L'illustre donna l'accolade et délivra le baron. A ce moment son oncle pénétra la salle.

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Le Héraut tenait en mains un pli important, qu'il remettrait au Còm Illustre. Déjà que la journée était longue, barrer, réécrire, vérifier, controler, il fallait en plus faire la file. De toutes façons, c'est vrai qu'il était là, ce qui pouvait simplifier les choses...

Apres avoir discrètement dépoussiérer ses vêtements, le Baroùn profita de la reponse de l'illustre pour s'approcher humblement...

une fois devant le Comte, il posa un genoux à terre, s'éclaircit la voie et prit la parole

- Moi Enguerrand de Sabran, Baroùn de Pertus, déclare ce jour prêter allégeance à Ludovi de Sabran, Comte illustre de Provence...

Par cela, je m'engage a lui fournir aide, soutien et conseil, ainsi que tout ce qu'il lui semblera bon d'exiger.

L'illustre sourit à l'approche de son oncle.

Il se leva et déclara :

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance,Enguerrand de Sabran, Baroùn de Pertus.

Je vous promet de vous Aider quand vous en aurez besoin, de vous faire justice et vos renouvelle Subsistance.

L'illustre donna une profonde accolade puis délivra son oncle un sourire au visage.

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Deminerve s'avança à son tour.

Mon Comte, voici un pli pour vous.

Citation :: Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Princesse souveraine de Cologne (Köln), Comtesse de Carpentras (Carpentras), Baronne de Saint-Raphaël (San Rafeu), Dame de la Sainte Baume (Santa Bauma), de Sainte Anastasie-sur-Issole (Santa Anastasia) et de la Penne-sur-Huveaune (La Pena), prêtons allégeance à la Provence pour nos terres de Carpentras, de Saint- Raphaël et de Sainte Anastasie-sur-Issole.
Nous assurons aide, conseil et protection au Comte Illustre en rappelant toutefois que notre hommage-lige va à Sa Sainteté le Pape Eugène V dit le Superbe.

Qu'Aristote garde la Provence.

Rédigé et scellé à la Santa Bauma le vingt-huitième jour du moi de mai de l'an de grâce MCDLVI.

L'illustre fit noter une réponse et remercia Deminerve.

Citation :: A Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg,
Princesse souveraine de Cologne,
Comtesse de Carpentras ,
Baronne de Saint-Raphaël,
Dame de la Sainte Baume,
Dame de Sainte Anastasie-sur-Issole
Dame de la Penne-sur-Huveaune

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg.

Je vous offre en retour mon Aide si vous êtes dans la difficulté, la Justice qui vous est due et vous procure Subsistance.

Je note également votre hommage-lige à sa Sainteté le Pape.

Continuez à oeuvrer pour la Provence comme vous l'avez fait jusque là.

Fait à Avignon, le 25 juin 1456
Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre

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Apres avoir attendu son tour Funny décida de s avancer vers monsieur le comte. S agenouille et dit d une voie sur :

Moi Funnyjok d'Heavanx seigneur de la Valette du Var, prêtons allégeance à la Provence et par la même à Vous Comte Ludovi de Sabran.
Vous pourrez toujours faire appel à moi si le besoin s'en fesait sentir.

Le connétable s'avança ensuite. Un ami celui là.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Funnyjok d'Heavanx seigneur de la Valette du Var.

Je vous offre en retour mon Aide en tout domaine, la Justice dont je saurais faire preuve et vous procure Subsistance.

Richelieu donna accolade au Connétable et le délivra du protocole.

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Cérémonie d'allégeances Mai 1456 - Page 2 Ldqi

Marius arrivait avec retour aux abords d'Avignon. Ces dernières semaines avaient été fort chargées. S'approchant du Comte Illustre :
Nous Marius de Lioncourt Comte de Nice, Vicomte de Cassis prêtons pour ces terres allégeance à l'Illustre Comte de Terres Provençales et renouvelle ainsi l'attachement de ces dernières à cette terre qui m'es si chère.
Je vous offre, Comte Illustre, aide et conseil si vous le requérez. N'hésitez pas si cela vous était utile à jouer de mon appuis en quelque affaire qu'il soit.

J'ajoute aussi qu'en temps que représentant en ces lieux des terres des Iles d'Or dont le comté est la possession du défunt Comte Kermit. Que ces terres vous apportent aide et soutien aussi longtemps que vous le jugerez utile.

Marius de Lioncourt

Un flash lui revint à l'esprit, lorsque le Comte a dicté sa réponse, avait il demandé à mettre un sceau? Le héraut était persuadé que non. Il attendrait que l'Illustre en ait fini avec Merlin pour lui faire la remarque. car dans l'état actuel, l'acte d'allégeance n'était pas valide.

Ce fut ensuite Merlin qui se présenta.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Marius de Lioncourt Comte de Nice, Vicomte de Cassis pour votre Vicomté.

Je vous offre en retour mon Aide en tout domaine, la Justice dont je saurais faire preuve et vous procure Subsistance.

Richelieu donna accolade au Comte et le délivra du protocole.

L'illustre regarda ensuite Deminerve d'un air interrogateur. Le héraut semblait perturbé.

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Un valet était entré dans la salle et était venu directement chuchotter à l'oreille du baroùn.
Celui-ci pris un teint légèrement blème et demanda à ce qu'on lui fournisse de la cire, une plume et un velin.

Les minutes passaient et Fufanu tapait du pied d'impatience, on l'avait prévenu que son épouse était souffrante et il lui tardait de la rejoindre pour la soutenir.

Une fois le matériel apporté il posa l'encrier, et le velin sur une table et écrivit sans trop d'application.

Une fois terminé, il remit le pli au héraut de Provence en lui disant qu'il devait partir de toute urgence et qu'il devait remettre cette lettre au comte.

Spoiler:

Un pli arriva aux armes de Dignes. L'illustre ouvrit la lettre et la parcouru des yeux. Après lecture, il fit donner réponse :

Citation :: Nous, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Fufanu Deslacets, baron de Dignes.

Soyez assuré de recevoir mon Aide en cas de besoin, la Justice dont je saurais faire preuve et vous renouvelle Subsistance.

Nous souhaitons un prompt rétablissement à votre épouse.

Fait à Avignon le 27 Juin 1456,
Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre

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Cérémonie d'allégeances Mai 1456 - Page 2 Ldqi

Après que le Comte ait répondu au Baroùn, Deminerve se réavança.

Mon Comte,
il me semble que vous n'avez pas fait apposé votre sceau lors de votre réponse à Son Altesse Ingeburge. Sans celui-ci, l'acte n'est pas valide.

Nombre de messages : 215 Date d'inscription : 23/05/2007

Profitant d'un temps mort, Mateù s'avança, devant l'Illustre.

Moi, Mateù « Castel » de Sabran, Baron de Grimaud, prête allégeance au VIe Comte Illustre de Provence, Ludovi de Sabran dit Richelieu. Je vous offre aide, conseil et tout le soutien militaire nécessaire.

Je tiens, pour conclure, à répéter que mon allégeance-lige est réservé à sa Sainteté le Pape.

Il murmura ensuite quelques mots plus informels à son neveu, afin de la féliciter quant à son dévouement pour la Provence...

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