Cérémonie d'allégeance mars 1456

Citation :

HRP
Petits Rappels des Regles concernant l'Allégeance des nobles d'une province

- La Cérémonie dure en gros 1 journée RP, 1 Mois Temps Reel
- Les Nobles de Provence se doivent à l'allégeance sous peine de dérogeance, soit de vive voix soit en Missive (datée, signée, scellée)
- Ils doivent Aide, Conseil, et Protection. En contre partie le Comte de Provence leur devra Susbistance, Aide et Justice. Le contrat étant scellé par l'accolade vassalique et/ou le baiser de Paix. Attention l'allégeance se fait à deux, on ne dit pas "et en échange le comte de Provence me doit...", le Régnant serait en droit de refuser l'allégeance et de la faire recommencer.
- La cérémonie se déroulera selon la demande du Comte (présséeance ou au premier venant)
- Par soucis de Rp une seule personne fait son allégeance et le Régnant répond, pas de chevauchement d'allégeance svp

Compte tenu que le Comte doit prêter allégeance au Marquis, c'est lui qui passe en premier.

exemple de cérémonie : http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=305456
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=300183

/HRP

L'héraut de Provence, Fufanu Deslacets, c'est à son poursuivant d'armes, Cédric Von Valendras, que revenait l'insigne honneur de commencer la cérémonie d'allégeance. Cet évènement qui revenait à chaque nouveau mandat comtal lors de l'élection du nouveau comte. C'était le seigneur de Rocbaron, Ludovi de Sabran, qui avait été élu par le conseil pour les deux mois à venir. Le poursuivant se rappeler la dernière et calamiteuse cérémonie sous l'égide de Louis-Philippe Von Wittelsbach et espérait que la nouvelle cérémonie se passerait dans les meilleures conditions, dans les meilleurs délais. Vêtu de ses plus classes habits pour l'occasion, il attendait que le marquis viennent s'asseoir sur le trône marquisal afin que la cérémonie débute par le serment de l'illustre comtal envers le marquisat.

Ludovi vit s'avancer en premier allégent le vicomte de Castellane. il avait eu le plaisir de le connaître et de le cotoyer régulièrement pendant plus de 6 mois. Ce dernier s'était retiré dernièrement du conseil comtal, et Ludovi le regrettait.

ludovi se leva, et s'approcha de Gabriel.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Gabriel Von Wittelsbach, Vicomte de Castellane.
Je ne doute pas un seul instant de vôtre dévouement.

Je vous offre en retour mon Aide dans les moments difficiles, la justice pour vous et vos gens et la Susbistance.

Ludovi fit se relever le vicomte puis lui donna accolade, le libérant ainsi du protocole.

Hersende de Brotel succéda au Comte de Menton, celle ci était une amie de longue date de Ludovi. Elle avait été là dès ses débuts en politique à la mairie, puis au comté, le supporter pendant un an n'avait pas du être évident. Une relation de très forte amitié était née depuis. Voir Hersende en révérance ainsi devant lui mettait Ludovi mal à l'aise.

Il se leva rapidement et s'approcha de son amie.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Hersende de Brotel, Comtesse de Valréas.

Je suis ravi de vous avoir à mes cotés, pour m'aider comme vous l'avez fait si souvent.

Soyez assurée de recevoir Justice, Susbistance et bien sûr mon Aide dans toutes les situationsauquelles vous serez confrontée.

Ludovi fit relever Hersende, lui donna l'accolade la remerciant tout bas.

Merci pour tout.

La Comtesse de Valréas venait de se retirer. Ludovi reprit peu a peu ses esprits quand le Comte de La Nice S'approcha.

Ludovi le connaissait bien peu de visu, mais feu sa mère lui en avait beaucoup parlé. Il était selon elle un des hommes les plus merveilleux dont ludovi avait entendu parler.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Marius de Lioncourt - Comte de La Nice, Vicomte de Cassis
En retour, je vous assure de mon Aide, de la justice pour et de la Susbistance.

Je n'hésiterais pas à requérir votre aide si j'en ai besoin.

Ludovi fit se relever le Comte puis lui donna accolade, le libérant ainsi du protocole.

Bien que souvent present ces derniers temps en Avignon, le vicom envoya son secretaire portait la missive d'allegeance au com illustre, ne sachant s'il pouvait donner la missive au com, il fit passe le pli au garde proche et attendit

Citation :

Com illustre,

Je vous souhaite a nouveau mes felicitations pour votre nomination, et vous souhaite bon courage dans vostre mission, priant pour qu'elle ne vous affecte point du mal des precedents Coms....
Malgre ma presence en Avignon pour differentes affaires, j’espere que vous comprendrez, que je ne me presenterai point devant vous, ne concevant point possible une prosternation en ces lieux..
Neamoins, soyez sur de mon allegeance et de mon soutien a la couronne provencale et a votre personne…, De facon plus protoculaire :
Moi, Louis Phillipe Von Wittelsbach, vicom de Frejus, je vous promets de vous apporter aide, conseil et assistance tant que le moindre souffle de vie reside en ma modeste personne.
L'armee et le peuple Frejusiens sont a vostre service.

Respectueusement

Louis Phillipe Von Wittelsbach, Vicom de Frejus

Un messager porta un pli à un garde qui le remis à Ludovi. Ludovi lut le pli, il s'agissait du précédent illustre qui refusait de venir prêter serment à Avignon.

Pour Ludovi le Marquisat et le Comté ne faisaient bien qu'un et regrettait cette opposition. Quoi qu'il en soit il se leva et dit :

Qu'il soit dit que Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte l'allégeance de Louis Phillipe Von Wittelsbach, Vicom de Frejus.

En retour, je l'assure de mon Aide, de justice et de Susbistance.

Ludovi fût amusé de voir que cette allégence était marqué du sceau du Comte Illustre. Une erreur sans doute, cela n'était guère important.

Un pli fût retourné au Vicomte :

Citation :

Louis Phillipe Von Wittelsbach, Vicom de Frejus.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte votre allégeance, tout en regrettant de ne point vous avoir vu.

En retour, je vous assure de mon Aide, de la justice et de la Susbistance.

Ludovi de Sabran, VIème Comte de Provence Libre.

Après avoir attendu que le comte Gabriel prête allégence, Bubart, à ses côtés, s'avança et déclara :

Moi, Bubart de Roquebrune, Seigneur de Roquebrune Cap Martin, prête allégeance à sa Grandeur le Comte illustre Ludovi de Sabran. Sachez que l'aide des terres de Roquebrune sera toujours apporté au Comte tant militairement que économiquement en ces temps difficiles.

Bubart resta agenouillé en attendant la répnse du comte...

Après que le courrier de Deubs lui fût parvenu et que Ludovi l'ait accepté Le seigneur de Roquebrune s'avança et prêta allégeance.

Il fût immédiatement suivi du Seigneur du Cannet des Maures.

C'est à ce moment que le baroùn de Dinha intervint.
Il se dirigea vers Bubart dans un premier temps.

Citation :

Senhor Bubart, vous n'avez à prêter allégeance, vous n'êtes pas vassal de la Provence mais du com de Menton. Veuillez vous relever et regagner l'assistance.

Ludovi salua de la tête le seigneur. Il espérait ainsi lui faire comprendre que l'incident n'étais pas grave.

Puis Fufanu se retourna vers Morntaur.

Citation :

Senhor, ne soyez pas si pressé, laissez le senhor Bubart se retirer. Votre tour viendra. Ne vous inquiétez pas.

Fufanu lui souria et s'adressa à Ludovi.

Citation :

Com, vous avez reçu un courrier de je ne sais qui. Cette lettre était-elle signée, datée et scellée ? S'il manque un de ces éléments, elle doit être refusée et l'expéditeur doit faire en sorte de la rédiger correctement.

Cette lettre est du Vicom de Frejus. Il semblerait qu'il se soit trompé de sceau, mais il est fort occupé et fatigué ces temps ci. Ce n'est qu'une petite erreur.
Je sais cependant que son allégeance est réelle, et sachant que l'acceptation ou le refus est de mon seul ressort, j'ai décidé de l'accepter.

Cependant je vous remercie d'être aussi réactif et présent.

Ludovi se leva.

Bien reprenons je vous prie. Seigneur du Cannet des Maures. Veuillez vous avancer et réitérer votre allégeance.

Alors que le vicomte avait été occupé à conversé avec un mécène, il vit le comte illustre avec des parchemins. Regrettant son manque d'attention, il se rendit promptement pour vérifier les parchemins, procédure oblige.

- Messire, puis-je voir le parchemin que vous détenez ? S'il s'agit d'une allégeance, d'un quelconque couard qui refuserait de venir prêté allégeance céans icelieu, je dois en vérifier son contenu.

Le comte s'exécuta, le héraut prit le parchemin et le parcouru du regard. Il prit un air ennuyé bien qu'il fut passablement énervé par ce manque de respect de la part d'un vicomte, et ajouta :

- Je suis navré mais cette allégeance de la part de Fréjus n'est tout simplement pas acceptable. Tout d'abord, il y'a usurpation de sceau, comment un noble peut'il s'octroyer le droit d'utiliser le sceau de Provence dans ses actes ? C'est tout bonnement inqualifiable ! De, plus il manque la date. Navré mais cette allégeance ne peut être prise en compte.

Ludovi vit s'avancer le seigneur du Cannet des Maures sur sa demande.

Citation :

Moi, Morntaur Illgurth, Seigneur du
Cannet des Maures, prête allégeance à sa Grandeur le Comte illustre
Ludovi de Sabran et jure par là même de défendre la Provence contre
tous ses ennemis extérieurs comme intérieurs. Ma lame est vôtre !

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Morntaur Illgurth, Seigneur du Cannet des Maures

Je vous assure en retour de mon Aide dans les moments difficiles, de la justice pour vous et vos gens et de la Susbistance.

Ludovi fit se relever Morntaur et lui donna l'accolade.

Vous pouvez vous retirer. Seigneur

Ludovi répondit ensuite au vicomte Cédric Von Valendras.

Comme je l'ai dit au Baron de Dinha, le vicom de Fréjus s'est certainement emmêlé trompé. Il est fatigué, et je lui pardonne.

De plus j'ai déjà assisté à plusieurs cérémonie, et bien des courriers n'étaient pas corrects. A ma connaissance, il n'y a eu aucun problème, donc ca ne doit pas être si grave.

Merci tout de même.

Ludovi se ré-avança devant l'assistance.

Continuons je vous prie.

Le Comte de Rians pénétra dans la salle et s'avança.

Ludovi connaissait bien le Comte de Rians à qui il devait comme à Hersende, son accession à l'Alliance Provençale. Cet homme avait laissé sa chance à Ludovi. Le temps avait passé et leurs relations avait beaucoup fluctué.
Quoiqu'il en fût, Ludovi respectait beaucoup le Comte, et le considérait toujours comme son ami.

Citation :

Moi, Cassandre de Zyelinski, Comte de Rians, Seigneur de Peille, Seigneur de Grans, prête allégeance à sa Grandeur le Comte illustre Ludovi de Sabran pour les terres de Grans remise à l'ordre du phoenix provençal par la comté et jure par là même de défendre la Provence contre tous ses ennemis extérieurs comme intérieurs.

Ludovi se leva et s'approcha.

Moi, Ludovi de Sabran, dit Richelieu1, VIème Comte de Provence Libre, accepte vôtre allégeance, Cassandre de Zyelinski, Comte de Rians, Seigneur de Peille, Seigneur de Grans.

Je sais l'engagement que vous avez envers la Provence, et le cœur que vous mettez dans vôtre tache.

Soyez assuré de recevoir mon Aide dans les moments difficiles, de bénéficier de la justice qui vous est due ainsi que de la Subsistance.

Ludovi immortalisa ensuite cette allégeance par une accolade avec le Comte de Rians.

Merci votre grandeur, vous pouvez vous retirer.