Cérémonie en l'honneur des soutiens étrangers [juin 1458]

Le Lude entra calmement dans la salle de cérémonie, un peu surpris mais ravi d’y être invité par Dame Hersende. Avait t’il raison d’être présent ? Qu’avait il fait de bien glorieux ?. Certes sa province c’était déclaré neutre, mais presque sans qu’il ait besoin d’intervenir.

Alors pourquoi était il là ? Le Lude avait toujours combattu les folies d’indépendances, il s’était opposé au grand Tydual son beau père qui avait voulu l’Anjou indépendante car cette indépendance signifiait de choisir l’église Aristotélicienne contre la pairie.

Plus tard, Il s’était opposé à Gomoz qui voulait que l’Anjou lui prête allégeance, en expliquant explicitement dans une lettre au conseil d'Anjou qu’il fallait pour cela obtenir le soutient de l’église aristotélicienne contre la Pairie.

Le Lude tout jeune avait vu la Bretagne encore balbutiante soutenir le massacre de Rohana par l’assassin Jarkov sanctifié depuis et avait refusé de choisir la fausse liberté bretonne.

Phil avait de tous temps soutenu le Roy de France, car ma foi, il était bien de tous ceux qui voulait le pouvoir pour leur clan le plus libéral, car le plus lointain.

Mais les temps avait changé et avec cette guerre la Pairie d’Armoria, désesperant juqu'à ses plus fidèle soutient, avait oublié ce que liberté veut dire au profit des copains et des coquins du genre du paire de france Kilia récemment blanchi dans une déclaration de la Pairie. La pauvrette aurait été manipulé en pillant la Franche comté.. Ecoeurant...

Le Lude, vieux rebelle légaliste, moult fois capitaine d'Armagnac et conseillé militaire, espérant toujours un sursaut du royaume de France mais ravi du succés provencale dans cette guerre injuste, entra et observa les présents.

Oui il avait aidé, mais pas assez à son goût.

hélène ne s'attendait pas a revenir de si tot en Provence et avec ses compagnons d'armes prenait la route chevauchant pendant pjusieurs jours

Des dispositions avaient été prise ,un chariot suivait derriere eux pour y abriter leurs malles remplies de jolies robes

Pas d'uniforme pour cette occasion

Une fois arriver devant le chateau,Hélene resta là un moment a le comtempler puis entra suivit d'Esméralda et Sylvana

Bonjour tout le monde[i]

Dans la salle ,elle salua Lionel ,Max,Misslafan et tout les autres présents qu'elle connaissait ou ne connaissait pas

Il arriva dans le Chateau....

"Bonsoir à tous....je viens ici pour la fete....au nom de Semper Fidelis...je veux dir seulement une chose....VIVE GENES..VIVE LA PROVENCE...VIVE LE MARQUISAT..."

Il leva une vère de bon vin genoise....à la santè de la Marquise...

Ermessenda est finalement retourné a la Provence aprés un longue voyage à cheval. Cette fois, elle est venue pour célebrer, pas pour faire la guerre. Une douce odeur de lavande et de vignes l'a salué. Elle peut voire maintenant come cette belle terre renaît après la terrible guerre qui a laissé tant de douleur. Les familles pleurent encore ses fils morts, mes ils travaillent aussi dans la foi que leur patrie redeviendra prospère et hereuse.

Sus le magnifique chateaux d'Avignon, le drapeau de Provence, le même que ce de la Catalogne, ondoie au vent, le drapeau de deux peuples fièrs et frères.

Elle se repose un peu chez Joana, son amie provençale, et après elle s'habille avec sa meilleur hopalande en soie pour a aller à la céremonie au château. Dans la salle des céremonies, bellement décore pour l'occasion, elle salue ses compagnons almogàvers qui sont aussi venues: Rocabertí, assot, Ililtia, et tants d'autres. Et aussi des guerriers helvètes, génois et d'autres nations qui sont venus se battre pour la liberté des provençaux et qui sont devénus aussi des compagnons et frères au combat. Et bien sûr, elle est hereuse aussi de retrouver ses amis provençaux.

Joanot atteint tôt le matin, mais le couple avait château enchanté et a passé toute la journée et se promener à la recherche d'anciens amis de la guerre.
Attendez, ne venait pas trop tard ...- Salud toutes les personnes présentes et s'est assis avec le reste du Almogavers.



Joanot havia arribat ben aviat pel matí però el gran castell l'havia encantat i va passar tot el dia passejant pels voltants i cercant vells amics de la guerra.
-Espere no haver arribat massa tard...- Saludà tots els presents i s'assegué amb la resta d'almogàvers.

"Tu retourneras, Divine Sauvageonne, à la poussière sacrée en l'enceinte des Grands Chemins,dans l'âme le parfum d'une Terre brûlée."

Clin d'oeil d'après-guerre.

Elle aimait. Ces Pays fous d'Indépendance, et la Grandeur des Royaumes animant le fond de sa prunelle. Elle aimait le fracas des Grands Esprits d'une plume parfois rebelle, sur les parchemins de l'histoire, et des âmes stoïques tachetant d'encre noire une évolution peut-être "trop drastique"... Humm.

En la salle d'honneur, elle en retrouva plusieurs, de ces visages, et si les chemins l'emportaient avec plaisir, le froufrou des jupons et apparat de grandes personnalités en la beauté d'un Castèl l'enchantait tout autant. Toute bouclée qu'elle était, la Sauvageonne s'avança dans la foulée, l'oeil clair, tout aise sans nul doute.

Le défilé des salutations, Le Vicom Imladris d'une Franche-Comté qu'elle appréciait depuis toujours, le futur vassal Breton évidemment, une cascade de sourires ainsi aux différents visages, de la Marquise aux amis de la Provence, ou alliés de la paix, allons comme il plait! Peut-être croisera-t-elle le Còm... songea-t-elle, posant une main sur cette fameuse amulette. Après tout, du Poitou, elle espérait bien présence....

- Ho Margab! Mon rebelle! - Grand sourire, sortant de son songe - Je me mandais si nous vous verrions, cher ami! Ravie! Et... soyez un sage fêtard! Petit clin d'oeil taquin, et s'envola la Baroùna vers...

Un vent du nord. Une promesse faite... avant ce courrier.. Un sourire, détaillant doucement le bel Italien nouvellement alençonnais.

- J'espère qu'un retour au soleil saura vous plaire, cher Nicolas; vostre présence enchante! - sourire sincère, et de remarquer la Dame l'accompagnant - Serait-elle donc l'heureuse élue? Toujours plein de mystères, dites-moi! Soyez bienvenue, Dame! Sherry de Marigny, et surtout ravie que l'on amène un éclat de joie en les traits du Vicom!

Et la Provençale les effleura d'un oeil taquin, sombre héro de l'amer. Qu'il lui manquait donc à elle, son vilain... * sourire en coin

De ces contrées lointaines de la Principauté de Catalogne, est venu sur les terres de Provence et Avignon château, Dona Klohita Rodena Quijada, Lady d'Agramunt et la comtesse de Serres, avec son fils Neo Tallaferro Quijada Rodena, et a promis futur mari de la princesse Grèce.

La femme est entrée dans la grande salle du bras de son fils et ses yeux regarder des visages familiers.
Sur trouver Rocaberti est dirigé, comme il a salué son chemin vers les gens qui étaient là.

-Chers Rocaberti - dit-elle en lui tendant la main au héros brave Catalan qui avait dirigé la Almogavers gras à la victoire une fois de plus - est un plaisir à voir et plus agréable, même dans ces circonstances. Je dois vous dire que la robe du soir que je suis beau.


Nota: tranlatte from google.

Oleguer a vu comme d'autres invités arrivaient, entre ceux-ci de grands personnages de l'Europe, et certains de ses amis magnifiques almogavars qui arrivaient de la Catalogne. Quand l'honorable Yvain leur a dit où ils pouvaient s'asseoir, Oleguer fït des signes à ses compatriotes pour qu'il ils allassent s'asseoir avec lui pour que la cérémonie pût commencer.

Un peu en retard, le Grand Duc de Bretagne pénétra dans la salle, accompagné de quelques gardes, guidant le vieil aveugle vers l'assemblée.

Le bonjour et mes amitiés à tous ceux ici présents. Honneur et gloire à la Provence victorieuse, dont le triomphe vient d'ébranler l'ogre français et d'écrire en lettre de sang et d'or son nom dans l'Histoire.

Je vous apporte ici les félicitations renouvelées de toute la Bretagne et nos témoignages d'amitié, qui sera à jamais inébranlable.

S'approchant de Leyah.

Alors il est où notre champion ?

Bitxu était entouré par ses compagnons almogavers, en jouissant d'un bon vin de la Provence... et en parlant le Français -avec un gros accent catalan- qu'il avait appris... Il était mieux ici, en bonne compagnie, entre les siens, que dans sa maison d'Urgell...

La salle s'était remplie rapidement et Hersende passait entre les groupes. Elle nota avec plaisir que les conseillers comtaux et marquisaux l'avaient rejointe et commençaient à se mêler à leurs hôtes.

Elle s'arrêta à proximité de Rocaberti qui était accompagné d'une femme fort élégante et d'un jeune garçon et entouré des autres Catalans.

Rocaberti, quelle joie de vous revoir ici, avec vos hommes, en des temps moins troublés! Dona, je n'ai pas eu le plaisir de vous être présentée, mais Rocaberti m'avait annoncée votre venue. Prenez place à côté de lui, je vous prie.

Puis elle aperçut plus loin, Alba qui avait été rejoint par plusieurs Bretons qui se pressaient autour de lui. Elle n'allait pas le déranger...

Alors qu'elle avançait, elle put échanger un sourire avec Philippaurus, un petit signe amical avec Imladris, puis elle croisa Margab et plusieurs autres génois, dont Weissmatten.

Bienvenue à Avignon! Gênes est dignement représentée, ce soir, dit-elle en s'adressant à eux. Margab, cela faisait si longtemps... J'espère que nous aurons l'occasion de discuter plus amplement à l'issue de la cérémonie. Weissmatten, je vous ai raté à Brignoles, mais je vous préviens que ce soir je ne vous laisse pas vous sauver!

Voyant Hélène, elle la serra dans ses bras, se remémorant les difficultés qu'elles avaient traversées, puis elle salua ses compagnons venus des différents cantons de la Confédération helvétique.

Mais soudain, un mouvement attira son attention à la porte de la salle. Un homme âgé guidé par des gardes s'approchait et tout en s'avançant prononçait des paroles d'amitié envers la Provence. Il rejoignit les Bretons qui devisaient ensemble.

Hersende, s'excusant auprès d'Hélène, Blue et Lionel se dirigea vers le petit groupe et demanda à Alba :

Me feriez-vous le plaisir de me présenter, Alba, afin que j'accueille Sa Majesté?

Leyah soudain apparu dans son champ de vision.
Crénond'une barrique de chouchen vide la voila qui tangue, se dit la Duduche chambellanesque.
Elle lui sourit et avant même de pouvoir en placer , Alié se trouva , elle et sa belle robe d'apparat digne du princesse aux yeux de breizh, transformée en paravent. A tel point que même le Grand Duc et son odorat si trompèrent et n'adressa la parole qu'a la Vicomtesse.
Une druidesse transformée en plante verte .. aprés tout rien que de trés naturel!

hep , psss mon Gd .. suis là , murmure amusé à un ami de tous les temps.

Alba qui s'approche , tout sourire brillant. Elle jette un oeil à Leyah , autre princesse issue de Breizh.

Tenons nous correctement chère amie, voila la cavalerie.

Pas le temps de bizouiller le tonton qu'une belle dame toute couronne sortie approcha à la vue de leur Roy.
La préséance voulait que celui ci fut le premier à intervenir, elle resta donc coite