Monté sur un dromadaire et suivit par une dizaine d'autre Omar Khayyan, poète, mathématicien, astronome persan et frère du Marchand Farid, arrivait devant le pont d'Avignon. Depuis que son frère était revenu de son périple au delà d'Istanbul, l'idée du voyage vers la lointaine europe avait fait son chemin. La guerre éternel dans le sultanat lui avait donné l'occasion de quitter Nichapur pour visiter ce monde qu'il étudié et voir comment les étoile appréhendait le monde ailleurs.
Loin des fidèles et dans un monde ou les mécréants vivaient en paix, Omar continuait son voyage. Son ami le grand vizir lui avait recommandé avant son départ, fort de son savoir, d'aller voir un nouvel état qui semblait avoir su par le passer rejeter la flotte venu d'Istambul. "Les ennemis de nos ennemis sont nos amis" lui avait dit Nizam al Mulk.
Prêt de deux ans plus tard, voilà que le philosophe arrivait devant la capital du marquisat. Il parla ainsi au guide de la caravane.
Que ton cœur soit en joie,
Le vin coule à flot
et la rose s'épanouit
Quand enfin le voyage se termine
Le caravanier sourit de toutes ses dent gâtés, l'amour des rubaiyat, du vin et des femmes d'Omar était connu. Il répondit.
- Dieu est grand de nous avoir permit d'arrivé qui devons nous voir ici?
- Mais une femme voyons, elle se nomme... Hersende, selon les dire du vizir.
Alors qu'ils arrivaient devant la porte, le guide éclata de rire.