Portes d’Avignon 15 juin
Un convoi de deux chariots et deux cavaliers avait fait une longue route depuis la Flandre pour en arriver aux portes de la cité libre d’Avignon. Les deux cavaliers était tout deux Flamands, richement vêtu brocart, soie et satin se mélanger dans des nuances d’automne pour le blond et d’un noir intense pour le brun. Tous deux porté une barbe à la mode en France et quand ils riaient on ne voyer que leur dans blanches. Et c’est deux hommes, amis depuis toujours, riait beaucoup de leur propres exploits, le voyage fut long mais tous deux le vécurent avec passion et jeunesse. Nombre de jeune servant d’Auberge de grand chemin avaient connu la fougue du blond et la douceur mélancolique du brun. Aux portes de la ville on leur avait indiqué le plus court chemin pour rejoindre le palais. Si près du but ils accélérèrent le pas pour rejoindre au plus vite qui de droit pour répondre à leur requête. Sous le regard inquisiteur de Claudia et Willem leur domestique qui eux ne pouvaient suivre sur le chariot le rythme des deux jeunes gens, ils filèrent alors vers les grille du Palais, riant aux éclats, savourant les bruits de la ville, les odeurs des marchés, les jolies jeunes filles d’Avignon. Ils s’arrêtèrent devant les grilles , un garde en uniforme se tenais hallebarde en mains près à refouler qui bon lui semble. C’est le blond qui arriva en premier et sautant de selle, retira son chapeau et dans une courbette désinvolte, pris la parole, une pointe d’accent sur le bout de la langue.
Bien le bonjour Sieur , je suis Ulrich Van Den Hende et voici mon ami Harold van Eyck qui est pour tout vous dires comme mon propres frère nous désirons nous installer en Avignon et cherchons , un bourgmestre , un lieutenant général d’Avignon ou encore un sénéchal pouvant nous indiquer quel locaux ou terrains peuvent d’être mis à nostre disposition. Il fit une pause , lissant la pointe de sa barbe. Bien sur nous avons largement de quoi payer pour l’achat.