Anthelme avait reçu un billet lui indiquant que la Marquise était rentrée de sa retraite religieuse. Anthelme qui vivait depuis quelques jours dans une auberge d’Avignon avait était soulagé de recevoir ce billet. Il allait pouvoir enterrer son père en Provence. Il se fit habiller avec l’aide de plusieurs des anciens valets de chambre de son père. Des bas de soie noir et une culotte bouffante noire en satin, crevée de soie pourpre. Un valet non sans émotion boucla la ceinture de cuir noir à boucle d’argent qui avait appartenu au seigneur de saint victoret n ceinture qui se vu agrémenté par la rapière familiale qui avait appartenue a chaque Tebaldo d’Agneau depuis plusieurs générations. Dans le même temps deux autres valets lui avait passé par dessus une chemise de lin finement tissée, un justaucorps de brocart noir rehaussé de broderie au fil d’or et d’argent, arabesque au dessein complexe rappelant les arabesques d’inspiration arabo andalouse que Vitruvio adoré tant. Il lissa ses cheveux brun roux légèrement sur le coté pour posé sur sa tête une toque noir a plume d’oie rouge, clin d’œil a la soie qui garnissait sa culotte. Il toucha la bague qui lui orné la main droite ou l’agneau pascale usé par le temps avait presque disparu. Les valets reculèrent d’un même homme autour de l’héritier, l’émotion était presque palpable dans la pièce. Anthelme se signa et pris une cape courte qu’il jeta sur une épaule avant de prendre le chemin du palais Marquisal. Il chevaucha son andalou a la robe noir a travers la ville. On le laissa pénétré sans encombre dans le palais. De ses fontes de selle le jeune homme sortit un petit coffret de cèdre poli par les âges, un petit coffret d’une simplicité étrange, seul des lettres réalisées en ivoire venez perturber cette simplicité, des lettres latines « Agnus Dei » crie de la famille Tebaldo d’Agneau . Il déambulât dans le palais suivant un serviteur qu’il avait croisé dans le grand vestibule du palais. On lui ouvrit une lourde porte révélant le vestibule donnant dans le bureau de la Marquise. Abthelme sourit au serviteur présent et pris la parole, un léger accent Italien moins suave que son père mais plus vif.
Veuillez excuser mon intrusion, mais j’ai reçut vostre billet et je souhaite au plus vite rencontrer la Marquise au sujet des funérailles de mon père feu le seigneur de Saint Victoret.